R�gions Est : SANT�
A l�heure des r�formes hospitali�res


L�op�ration r�habilitation et �quipements du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Annaba, entam�e depuis plus d�une ann�e, s�est acc�l�r�e ces derniers mois avec l�acquisition de mat�riels performants pour une meilleure prise en charge des malades, a appris l�APS du directeur g�n�ral de cette institution sanitaire.
Selon le professeur Abderrahmane Sa�dia, directeur g�n�ral du CHU, les services des sept structures (h�pitaux et cliniques) de cette institution sanitaire � vocation r�gionale, ont b�n�fici� de r�am�nagements et de r�fection pour les mettre au diapason des normes internationales en mati�re d�accueil et de soins. Apr�s des travaux de ma�onnerie et de peinture pour rendre les locaux plus fonctionnels et plus accueillants, les responsables du CHU ont engag� depuis 2004 une op�ration d��quipement tous azimuts. Ainsi, les services d�imagerie m�dicale, de laboratoire, d�anesth�sie, de r�animation, d�exploration fonctionnelle et de technique op�ratoire ont �t� dot�s en mat�riels sophistiqu�s, tels que tables de radiologie des os et des poumons, centrifugeuse, respirateurs d�anesth�sie et de soins intensifs, balance analytique automate � inclusion et autres groupes thermo�lectrique d�enrobage, ainsi que des tables d�op�ration, des lasers Argon et des appareils pour analyses �FNS�. Le service de radiologie s�appr�te � recevoir prochainement un scanner de derni�re g�n�ration et un �chodoppler couleur. Les travaux pour leurs emplacements sont au stade de la finition, indique-t-on. La mise en service de la totalit� de ces �quipements, dont certains sont d�j� op�rationnels, sera effective, progressivement, d�ici � la fin de l�ann�e en cours, fait savoir la m�me source, qui affirme, � ce sujet, que la direction du CHU accorde un int�r�t particulier � l�acquisition d��quipements neufs. Les conditions de prise en charge des malades n�ont pas �t� en reste, puisque l�ensemble de ces acquisitions leurs sont destin�es, souligne le professeur Sa�dia qui pr�cise que la buanderie et la cuisine ont �t� �galement r�am�nag�es. Leur �quipement en mat�riel, telles que machines � laver, cuisini�res et autres, a �galement �t� effectu� ces derniers mois. Une hygi�ne toute particuli�re avec de nouvelles m�thodes de travail plus efficaces, prescrites par le docteur Bachtarzi, chef du service �pid�miologie et de m�decine pr�ventive du CHU, est mise en pratique et scrupuleusement respect�e. Son objectif est de lutter contre les maladies nosocomiales, a-t-on signal�. Le cadre de vie des autres structures de sant� a connu, lui aussi, des transformations notables pour le rendre plus agr�able aussi bien pour les malades que pour leurs visiteurs. Ainsi, des travaux d�embellissement, de cr�ation et d�entretien d�espaces verts ont �t� engag�s en plus de la mise en place de panneaux de signalisation et d�orientation du public. Au vu du nombre important d�estivants qui ont fr�quent� les plages de Annaba cet �t�, il est utile de relever que les 14 points d�urgences (m�dicales, chirurgicales, ORL, ophtalmologiques, p�diatriques, etc.) n�ont pas ch�m�. �Nous avons fait face � un important flux de malades notamment durant les mois de juillet et ao�t. Il a fallu aux personnels m�dical et param�dical beaucoup de courage et de patience et une abn�gation remarquable pour r�pondre � toutes les sollicitations�, souligne M. Sa�dia, ajoutant qu�au d�but de chaque saison estivale des dispositions sont prises pour am�liorer les prestations en fonction de l'analyse des bilans des ann�es pr�c�dentes. �Toutes ces actions placent les structures de sant� publique dans les meilleures conditions pour l�application de la r�forme hospitali�re et en particulier en mati�re de contractualisation�, a estim�, le directeur g�n�ral du CHU de Annaba.
APS

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