Lors du dernier tournoi mondial des moins de dix-sept ans, la FIFA a exp�riment� l�utilisation d�un ballon dot� d�une puce �lectronique capable d�indiquer � l�arbitre la position exacte de la balle. Ainsi, gr�ce � ce progr�s, les referees auront la possibilit� de savoir si le ballon a franchi totalement une ligne de but.
Il est fort probable que ce ballon, dit intelligent, sera mis en service lors de la prochaine phase finale de la Coupe du monde en 2006 et de cette fa�on ; on n�aura plus un litige � l�image de ce fameux troisi�me but sur une reprise de la t�te de l�Anglais Geoff Hurst face aux � Allemands lors de la finale de 1966, le ballon heurtant la transversale avant de rebondir sur la ligne de but. Ce jour-l�, l�arbitre avait accord� le but, apr�s avoir consult� son juge de touche, estimant que le �cuir� avait �t� au-del� de la ligne alors qu�� ce jour, les Germaniques ont toujours soutenu le contraire. En Alg�rie, au lieu de verser dans l�intelligence, on pr�f�re se vautrer dans la b�tise humaine � l�image de ce qui s�est pass� � Tizi-Ouzou, lundi dernier, lors du choc entre la JSK et l�USMA, � cause du comportement pu�ril et d�une rivalit� personnelle entre deux hommes en l�occurrence Hannachi et Allik. Pr�sent sur les lieux, le pr�sident de la JSK n�a rien fait pour calmer les esprits � Il s�est empress� de demander � ses joueurs de faire un tour d�honneur pour ensuite d�clarer devant les cam�ras de l�ENTV que son �quipe venait d��tre victime d�un� complot �cousu main� (comme les anciens ballons). Quant � Sa�d Allik qui se trouvait � en France, il a tent� de g�rer cette crise par t�l�phone portable en ordonnant � son �quipe de ne pas reprendre le jeu estimant qu�il valait mieux prendre le risque de perdre des points par p�nalit� que de perdre des joueurs. Bien s�r, les sanctions vont pleuvoir mais comme d�habitude, elles ne toucheront que des boucs-�missaires tout d�sign�s comme Bilal Dziri, mais les deux responsables de cet �ni�me d�sordre, Hannachi et Allik, vont s�en tirer � bon compte et continuer � transformer notre football en v�ritable p�taudi�re.
H. B.

Nombre de lectures :

Format imprimable