L�Association nationale des patients atteints d�h�patopathie avec le concours du minist�re de la Sant� et de la R�forme hospitali�re a organis� une journ�e d��tude, jeudi dernier, au niveau de la maison de la culture Ali-Souai de Khenchela. Une assistance fort nombreuse, int�ress�e aux interventions des sp�cialistes, car l�h�patite C fait des ravages � Khenchela.
Bien qu�il soit difficile d�avoir des statistiques fiables comme le pr�cisera un repr�sentant du minist�re, car les praticiens ne font pas de d�clarations de cette maladie, pourtant obligatoire, passible de justice, le patient devrait aussi refuser des injections avec des seringues usit�es. Une sage-femme intervient pour poser le probl�me de contamination du personnel d�muni de moyens. Quant aux conf�rences, le Dr Hammam, de l�h�pital de Khenchela, brosse un tableau sur la situation de l�h�patite C � Khenchela, puis le Pr Debzi du CHU Mustapha d�Alger, retrace l�histoire naturelle de l�infection au virus C, le Dr Mahiou du CHU de Bab-El-Oued �voque les facteurs de risque au cours de l�infection. Le Dr Nani du CHU Mustapha, qui intervient sur le th�me de �La femme et le virus� puis le Pr Berkane du secteur sanitaire de Bologhine qui �voque le diagnostic de l�infection au virus C. On parlera aussi de la nomenclature pour le remboursement, de l�insuffisance des m�dicaments, l�Interf�ron Alpha et la Ribavirine. De son c�t�, la DSPS, dans une correspondance en notre possession, a fait �tat de l�inexistence d�aucun cas de dipht�rie ni de maladies inconnues dues � d��tranges insectes qui sortent des corps d�individus ni � A�n-Touila, ni ailleurs � travers le territoire de Khenchela, attribuant cela � de la d�sinformation pour des buts inavou�s, �crit le DSPS.
A. Ma�chi

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