Un projet de r�alisation d�une cour de justice est une bonne nouvelle. Cela permet aux gens de ne plus se d�placer vers Oum-El-Bouaghi qui s�occupe des affaires des citoyens et institutions de Khenchela et Oum-El-Bouaghi. Cependant, cette r�alisation qui vise aussi � rapprocher le pouvoir judiciaire local des citoyens et cr�er des emplois allait commencer par une injustice comme on l�avait �crit auparavant : une partie d�un jardin public en face du Tr�sor public �tait convoit�e.
On avait d�j� enlev� la cl�ture, le chef de la da�ra de Khenchela fera m�me un proc�s-verbal de choix de terrain qu�il a transmis � la direction des Domaines pour l�affectation du terrain en question. Sauf que le plan d�occupation du sol qui est un outil du plan directeur d�am�nagement et d�urbanisme de Khenchela est approuv�, pr�cisant que c�est un jardin public. Les outils de l�urbanisme sont opposables aux tiers et ont force de loi. Maintenant on ne parle plus des P-V de choix de terrain. On ne sait pas pourquoi on l�ignore ou en feint de l�ignorer. Finalement, le bon sens l�a emport�. On va laisser le jardin public qui n�cessite cependant l�entretien, le gardiennage et la cl�ture. Le projet de cour de justice vient d��tre d�localis� sur les hauteurs de la ville pr�s du Chabord. On saura aussi qu�une �ni�me affaire de poche vide vient d��clater, elle est situ�e pr�s du CEM Houari-Boumedienne. La Direction de l�urbanisme et de la construction a refus� d�octroyer le permis de construire � un ponte local qui fait la pluie et le beau temps � Khenchela et qui a �c�d� le lot � un �lu qui le lui a accord� auparavant. Grave, tr�s grave ce qui se passe pr�s du CEM Houari-Boumedienne ! Le foncier urbain, ces poches vides dans le tissu urbain qui ont servi � enrichir beaucoup de poches vides d�opportunistes par la gr�ce d�un poste souvent �achet� qui permet ces �acquis�.
A. Ma�chi

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