A la lecture de l�article paru dans Le Soir d�Alg�rie du 10/12/2005, sous le titre �Ville d�labr�e et guerre larv�e au sein de l�APC des Issers�, un constat s�impose incontestablement, depuis la cons�cration de la libert� d�entreprendre en mati�re de presse �crite par la loi n� 90-7 du 3/4/1990.
Ledit article est l�illustration m�me de ce qui permet d�affirmer ais�ment que certains journalistes ratent d�lib�r�ment l�occasion d�accomplir leur devoir d�informer le citoyen de fa�on saine ; notre ami Mohamed Benchicou, avant son incarc�ration en juin 2004, a bien fait de dire : �Nous avons conscience de nos erreurs et de nos faiblesses, l�essentiel est d�y rem�dier pour l�avenir�. Ce constat de l�un des ma�tres de la presse libre et �crite n�a manifestement pas profit� � l�auteur de l�article, objet de la pr�sente mise en point, ce qui pose certainement, non seulement une question de formation professionnelle de ce journaliste, mais aussi une question de sa formation �thique, car doit-on lui rappeler que la premi�re r�gle � laquelle doit se plier un journaliste est la rigueur dans l��tablissement des faits, l�effort de recherche de v�rit� gr�ce au croisement des sources d�informations. Afin de rendre compte de l�actualit� au citoyen sans approximation ni parti pris mensonger. Les d�rapages et les compromissions et les appuis partisans � des �lus ou des citoyens sont interdits l�galement et r�pr�hensibles d�ontologiquement, pratiquer le m�tier de journaliste sans verser dans l�injure et en respectant l�impartialit� dans l�information, c�est l�objectif que le journal le Soir d�Alg�rie se doit se rappeler � son journaliste, besoin qui pour l�instant est pris en charge (heureusement) par des organismes et des ONG �trang�res. Ainsi, votre article gagnerait, si cette d�marche a �t� suivie par son auteur, � �tre corrig� dans sa lettre et son esprit et aurait rapport� que la gestion de la commune des Issers n�est non seulement aucunement �d�sastreuse�, selon le terme choisi par ledit journaliste, mais aussi ne souffre d�aucune carence de quelque nature que ce soit, et son pr�sident et les membres de son assembl�e en sont fiers.

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