R�gions Ouest : RELIZANE
La Gendarmerie nationale � pied d��uvre


Dans un bilan dress� pour la p�riode allant du 1er janvier jusqu�au 31 d�cembre 2005, selon une source cr�dible, a-t-on appris aupr�s de la cellule d�information et de communication du groupement de la Gendarmerie nationale de la wilaya de Relizane, 1040 affaires ont �t� enregistr�es en droit commun dont 58 crimes (coups et blessures volontaires ayant entra�n� la mort et vols qualifi�s avec violence) et 982 d�lits toutes natures confondues pour lesquels 1245 personnes dont 33 femmes ont �t� interpell�es dont 360 mises en d�tention pr�ventive par le magistrat instructeur tandis que les autres ont �t� lib�r�es.
Par ailleurs, d�autres affaires ont permis la saisie d�une quantit� de 102,392 kg de kif. Quant aux autres, le myst�re reste entier o� le bilan qui aurait pu �tre plus lourd si les pouvoirs publics n�avaient pas mis en application les dispositions de la nouvelle r�glementation r�gissant le code de la route, reste n�anmoins encore important, d�o� l�int�r�t de tirer la sonnette d�alarme sur cette h�catombe meurtri�re. Par ailleurs, 600 accidents de la circulation se sont produits sur les RN4, 23 et 90A, au cours desquels 84 d�c�s ont �t� d�plor�s et 987 bless�s � des degr�s de gravit� plus ou moins importants. 40694 infractions du code de la route sont � l�origine de ces drames dont les causes principales sont bien s�r, l�exc�s de vitesse, le d�passement dangereux et la conduite en �tat d�ivresse et qui ne cessent d�endeuiller davantage de familles. Sous d�autres cieux, l�on n�h�site plus de marteler les esprits des conducteurs par le biais de spots t�l�, de sensibilisation choc en montrant des images tr�s proches de la r�alit�, de voitures accident�es et de passagers �ject�s et ensanglant�s. Pour rappel, durant l�ann�e 2005, les services relevant de la Gendarmerie nationale � travers l�ensemble de la wilaya, ont proc�d� � des s�ances d�information � travers des contacts directs avec la population au CIAJ, � la Maison de la culture, les �l�ves des �tablissements scolaires. On peut dire d�s � pr�sent que le conducteur est le seul � tenir son destin en main.
A. Rahmane

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