Quatre associations de quartiers ont fait front uni pour demander l�intervention du wali en vue du r�glement de moult probl�mes auxquels sont confront�s leurs cit�s.
Dans une correspondance dont nous d�tenons une copie, les signataires, a savoir les pr�sidents des associations El Manar de Hamadi-Krouma, des 641-Logements 500 logements, Rabah-Bitat (Zeramna) et B�ni-Malek, mettent � l'index sept institutions publiques (APC, OPGI, DUC, CTC, Epedemia, les transports et la s�ret� urbaine) et sollicitent implicitement leurs responsables respectifs afin qu'ils prennent les mesures ad�quates dans l'objectif de mettre un terme aux diff�rents probl�mes de sant� et de s�curit� publique. Ils s�inqui�tent de la hausse du banditisme due entre autres � un �clairage public d�faillant et au nombre insuffisant des patrouilles des �l�ments de la s�ret� urbaine. Dans leur communiqu�, ils accablent les entreprises de r�alisation en mettant en cause leur implication dans la clochardisation de leurs quartiers. Une situation qui d�montre aussi l'absence criante de contr�le, l'�tat d�plorable des murs de sout�nement, des trottoirs quelque temps seulement apr�s leur r�ception. Cette d�marche nous rappelle, � bien des �gards, �l'�re� de la �moribonde� Ligue de promotion des comit�s de la ville, dont le sort est toujours pendant, et plus loin encore dans le temps, de l'association de la cit� Beni-Malek, qui toutes les deux ont jou� un r�le pr�pond�rant dans la �promotion� des actions citoyennes Gageons que ce �sursaut� des quatre associations s'inscrira dans la p�rennit� des initiatives � caract�re public, et ne sera pas min� par une quelconque ambition de nature �quivoque. Enfin une unique ambition reste permise : celle d'apporter un �bonus� � la ville des �v�nements du 20 Ao�t 1955.
Zaid Zoheir

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