R�gions Ouest : BREVES DE RELIZANE

Une �quipe de m�decins et de chirurgiens sauve un homme d�une mort certaine
S�il est vrai que parfois la vie ne tient qu�� un fil, la vie de B. A. ne tenait qu�au fil du chirurgien qui lui suturait la plaie b�ante de l�oreillette gauche. Ag� de 23 ans, le jeune B. A. a �t� atteint, au cours d�une agression, d�un violent coup de couteau en pleine poitrine.

Evacu� en urgence vers le secteur sanitaire Mohamed-Boudiaf de Relizane, dans un �tat comateux avec une importante h�morragie, il a �t� rapidement pris en charge par le Dr Skandrani, chirurgien de service. Le pronostic �tait des plus critiques : �Le c�ur est atteint, le coup de couteau a transperc� le p�ricarde et l�oreillette gauche sur deux centim�tres.� La tension art�rielle est au plus bas. Un drainage thoracique est n�cessaire et une ouverture du thorax � la recherche de l�origine de l�h�morragie a �t� faite. Une fois l�ouverture du p�ricarde effectu�, il est constat� une plaie importante due au coup de couteau de l�oreillette gauche, chose miraculeuse selon le chirurgien. Un simple caillot de sang avait colmat� la br�che quelque peu. Apr�s l��vacuation du caillot, l�h�morragie reprend de plus belle (pr�s de 3 litres de sang a jailli). La mort est � vue. Le chirurgien devait suturer en urgence. Le jeune B. A., de tr�s bonne condition physique, a support� la lourde op�ration et se remet lentement en salle de r�animation. Il faut reconna�tre l�efficacit� et le savoir-faire de la jeune �quipe de chirurgie comme le Dr Karmouni, Rebhi, Skandrani, Attou et Benalal qui font des miracles au secteur sanitaire Mohamed-Boudiaf.

Les habitants de la �Montagne-Bleue� s�insurgent
Il ne se passe pas un jour sans que les habitants des quartiers de la ville de Relizane et ses environs expriment leur m�contentement et s�insurgent contre les �lus qui leur avaient promis monts et merveilles. Apr�s les citoyens de Bechemerik, Satal El Intissar, c�est au tour de ceux du quartier de la �Montagne-Bleue RHP, ex-Boumedia, d�exprimer leur col�re. Dans une lettre parvenue � notre bureau, les membres rappellent les engagements faits pour am�liorer leur situation car leur quartier qui constitue, disent-ils, presque une nouvelle ville souffre de tous les maux : ni assainissement, ni route goudronn�e surtout en cette p�riode hivernale. Ces familles ont d�pos� plusieurs dol�ances � l�APC, aucune r�ponse � ce jour. Faut-il encore occuper la route et engager un bras de fer pour qu�on les �coute ?
A. Rahmane

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