R�gions Est : BORDJ BOU-ARRERIDJ/APW, APC... ET NIGHT CLUBS
Le wali attaque sur plusieurs fronts


Au cours d�un point de presse avec le chef de l�ex�cutif, il a �t� clairement pr�cis�, pour �viter toute �quivoque, � propos de l��pisode interminable des conflits de l�APW, que le gel des activit�s d�une institution inactive par d�finition ne s�inscrit que dans la perspective d�une d�cision r�fl�chie bien que provisoire de son aspect constitutionnel, compte tenu de l�aspect formel de ladite institution, laquelle s�autoproclamerait au nom de sa personne virtuellement morale une tribune des partis politiques.
Dans un appel visiblement sinc�re, il a �t� recommand� � l�organe consultatif d��tre serein, responsable, concertant et d�battant quant aux v�ritables probl�mes de la population. Effectivement, face � une wilaya amput�e d�un organe de contr�le, l�euphorie atteint son commun de satisfaction du c�t� des directeurs ex�cutifs lesquels ne trouveraient pas mieux � dire que ce fameux �tout va bien� alors que c�est plut�t le contraire. Esp�rons que les jours � venir casseront le tabou du silence pour d�masquer ceux qu�appelle le wali les �mafieux�. La suspension du P/APC d�El-Hammadia poursuivi en justice selon la loi communale, la poursuite judiciaire des maires de A�n Tasserra, Ras El-Oued et Bordj-Ghedir, ainsi que les APC d�El Kalla (maire d�j� suspendu) et celle du chef-lieu furent toutes des questions � l�ordre du jour et dont le d�nouement rel�vera exclusivement des pr�rogatives de la justice laquelle n�a pas encore saisi le wali tant que le verdict n�a pas encore �t� prononc�. Chose certaine, l�affaire promet une avalanche de surprises qui ne pourraient que faire plaisir � une population avide d�un mauvais sort pour des intrus qui font de la confiance du peuple un pr�texte pour escalader les marches de l�autorit� ! Le chapitre relatif � l��vasion fiscale a touch� pour une fois clairement ses v�ritables commanditaires : les barons des night-clubs qui profitent impun�ment des ventes de boissons alcoolis�es en dehors des horaires fix�s par la loi. Pr�cisons que les activit�s de quatre �tablissements ont �t� provisoirement suspendues, en attendant que leurs patrons se plient au respect de la r�glementation qui g�re leurs activit�s.
Sa�d�ne Ammara

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