R�gions Ouest : SIDI-BEL-ABB�S
ACCIDENT MORTEL DE MERINE
Deux autres victimes d�c�dent

Deux bless�s, un �l�ment de l�auto-d�fense et un autre de la police communale, sont d�c�d�s des suites de leurs blessures jeudi et samedi dernier au niveau du service des urgences de Sidi-Bel-Abb�s, portant � 8 le nombre de personnes d�c�d�es lors de l�accident du camion militaire qui s�est produit le vendredi 17 f�vrier 2006 dans la localit� de Merine (Sidi-Bel-Abb�s).

Pour rappel, un camion � bord duquel se trouvaient des militaires, des �l�ments de l�auto-d�fense et de la garde communale se rendant dans la r�gion de Merine pour une op�ration de ratissage, s�est renvers� occasionnant la mort de 5 personnes sur le coup et 12 bless�s tr�s graves. 5 bless�s dans un �tat jug� s�rieux ont �t� achemin�s � Oran, 5 autres vers le service de traumatologie du CHU de Sidi-Bel-Abb�s alors que 2 victimes dans un �tat qui ne permettait pas leur �vacuation vers Oran ont �t� admis au niveau des UMC du CHU de Sidi-Bel-Abb�s, ces deux derni�res qui �taient maintenues en vie gr�ce au syst�me d�assistance, ont finalement rendu l��me dans le service.

LES HABITANTS DE SIDI-LAHCEN EN COLERE
Les pannes d��lectricit� trop fr�quentes

Les habitants de Sidi-Lahcen, une localit� distante de 5 km du chef-lieu de Sidi-Bel-Abb�s crient leur col�re suite aux pannes d��lectricit� �quasi permanentes qui empoisonnent notre quotidien�, disent-ils. D�apr�s ces derniers, des pannes de courant �lectrique viennent plonger quotidiennement leur localit� dans le noir entre 19 heures 30 et 20h30 et cela, depuis pr�s d�une vingtaine de jours, cet horaire g�ne �norm�ment, sachant que c�est le moment o� �coliers et �tudiants qui sont cens�s �tre occup�s � r�viser ou � faire leur devoir. Ces m�mes protestataires parlent aussi de coupures dans la journ�e qui paralysent certaines activit�s dans les lieux de commerce et les m�nages. Les coupures, a-t- on appris, ne concernent pas uniquement la localit� de Sidi-Lahcen, mais elles toucheraient aussi les communes de Sidi Khaled, Lamtar, Tassin et certains quartiers du chef-lieu. Sachant d�sormais que Sidi-Lahcen sera plong� in�vitablement dans le noir, aussi les habitants ont-ils pris pour habitude de se procurer des bougies pour pouvoir terminer la journ�e comme ils le peuvent, priv�s de t�l�vision et bien d�autres agr�ments qu�offre le courant �lectrique.
A. M.

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