Actualit�s : LA BOURSE D'ALGER EST RELANCEE, SELON SON DG
Gr�ce aux emprunts obligataires grand public


Hier sur les ondes de la Cha�ne II de la radio nationale, le directeur g�n�ral de la Bourse d�Alger, Makhlouf Rahni, a estim� que son institution �est en train d��tre relanc�e�. Ainsi, Makhlouf Rahni a pr�cis� que la Bourse, op�rationnelle depuis 1999, a toujours exist� tant en termes d�infrastructure que de cotations et que celles-ci ont toujours continu�.
Cela m�me si le niveau de l�activit� boursi�re a s�rieusement baiss� depuis quelques ann�es et que la cotation de l�Eriad S�tif ait �t� suspendue, pour des raisons objectives, ceci pouvant constituer un mauvais signe pour les investisseurs. Affichant n�anmoins �un optimisme raisonn�, Makhlouf Rahni a constat� que la Bourse sera relanc�e, un signe positif d�apr�s lui, gr�ce � l�introduction des obligations de Sonelgaz dont le programme d�investissements est �valu� � 12 milliards de dollars. En outre, il a assur� qu�avant la fin de l�ann�e, la Bourse d�Alger sera aliment�e par la cotation des obligations d�Alg�rie T�l�com, ainsi qu�� la faveur d�autres �missions d�emprunts obligataires grand public. En fait, la relance de cette institution b�n�ficie, selon Makhlouf Rahni, du d�veloppement du march� secondaire dans notre pays o� plus de 120 milliards de dinars ont pu �tre lev�s jusque-l� et un compartiment obligataire au �potentiel et dynamisme� av�r�s. Consid�rant que la Bourse constitue un moyen efficient de financement de l��conomie et des besoins en investissements, Makhlouf Rahni a appel� les entreprises qui remplissent les conditions, affichent une transparence financi�re et comptable, � aller en Bourse, en vue de r�aliser leurs programmes d�investissement et user d�une solution alternative au financement bancaire. Et Makhlouf Rahni ne manquant pas d�insister, intransigeant, sur la n�cessit� de la bonne qualit� de service et de la confiance, le fonctionnement de la Bourse �tant, selon lui, un mouvement d�ensemble impliquant tous les intervenants de ce march� financier. Cela d�autant que les pouvoirs publics ont impuls� une strat�gie de privatisation par le march� financier, au cas par cas. En effet, dans le cas o� une entreprise est privatis�e, la mise sur le march� secondaire d�un minimum �flottant� de 20% du capital donnera, selon lui, une profondeur et une importance � cette relance. Et des pouvoirs publics qui ont, justement pour assurer cette relance, allou� une enveloppe de 400 millions de dinars pour la modernisation de l�infrastructure, le d�veloppement des comp�tences et de la formation et l�amplification de la commune.
Ch�rif Bennaceur

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