Complices des Suisses dans ce qui reste au premier rang des matchs les plus tristes de la premi�re journ�e, tous groupes confondus, de cette 18�me �dition de la Coupe du Monde, les Fran�ais semblent ne pas avoir fini de se chercher depuis� l�ann�e 2000, celle de leur dernier titre de noblesse, l�euro belgo-n�erlandais.
Tout le monde y va de son hypoth�se et de ses observations. Et, comme l�expliquait, hier, quelqu�un sur Yahoo.fr : �Les r�ponses toutes faites pleuvent comme les buts lors d'un Argentine � Serbie�. Les joueurs euxm�mes, les consultants, les plus fins experts comme Monsieur-tout le monde, tous sont au moins d�accord sur une chose : les Bleus sont en panne d�id�es. Et plus que jamais, ils semblent s�accrocher � un exploit de Zidane pour qu�enfin, en cons�quence, Thierry Henry explose comme chaque samedi de l�ann�e sur la pelouse de Highbury et des autres terrains de la Premier League anglaise. C�est dire si les circonstances qui pr�valaient avant ce match face � une �quipe d�un pays qui ne rappelle pas les meilleurs souvenirs aux Fran�ais ne sont pas de celles qui incitent � la grande s�r�nit�. Un match que les Fran�ais, seule t�te de s�rie � ne pas avoir comptabilis� les trois points de la victoire � l�issue de la premi�re journ�e, doivent imp�rativement l�emporter aux d�pens des Cor�ens auxquels, eux pour leur part, il suffirait d�un nul pour s�envoler vers le septi�me ciel. Plus que si qui est par exemple le cas pour le Br�sil, cette explication face � la Cor�e prend les allures d�un gros match-pi�ge pour les hommes de Domenech qui doit commencer � percevoir les premiers souffles du vent de contestation qui s��l�ve pour remettre en cause son r�gne � la t�te des Bleus. La France se remettra-t-elle dans le droit chemin ? C�est assur�ment, l�une des grandes questions de cette dixi�me journ�e de comp�tition d�un Mondial qui n�a assur�ment pas �t� avare en enseignements.
Azedine M.

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