Sp�cial Coupe du Monde 2006 : THIERRY HENRY
�Maintenant, le d�bat est clos !�


L'attaquant de l'�quipe de France de football Thierry Henry souligne que le d�bat est �clos� maintenant que Zin�dine Zidane lui a fait sa premi�re passe d�cisive pour le but qui a permis aux Bleus de battre le Br�sil samedi et de se qualifier en demi-finale du Mondial-2006.
Enfin un but de Henry sur une passe de Zidane en �quipe de France...
Comme �a, le dossier est clos ! C'�tait le truc qui faisait un peu parler tout le monde. Voil�, c'est fait. Mais ce n'est pas le plus important. Bien s�r que je suis content d'avoir marqu�, en plus sur une passe de �Zizou�. Comme �a, �a arr�te les d�bats et je n'aurai plus cette question en conf�rence de presse, enfin (sourires) ! Plus s�rieusement, le plus important c'�tait de passer.
Racontez-nous votre but...

Ils (les d�fenseurs br�siliens) m'avaient oubli� deux ou trois fois d�j� sur des coups de pied arr�t�s, surtout quand Patrick (Vieira) la prend de la t�te alors que je suis juste derri�re tout seul : je lui parle mais �a va tr�s vite (47e minute). J'ai essay� de me faire encore oublier au deuxi�me poteau et de voir si la balle allait venir. La balle est venue. Apr�s, ce geste, parfois �a part � 20 m�tres au-dessus. Mais le jour o� il fallait, la balle est rentr�e. Pour moi, l'important, c'est que l'�quipe avance, pas qu'untel ou untel ait fait un bon match.
Comment l'�quipe de France a-t-elle gagn� ce match ?

Nous avons bien g�r�, on n'a pas paniqu� et il y a m�me des moments o� nous avons fait tourner la balle. On jouait contre le Br�sil : quand ils ont le ballon, tu as du mal � leur reprendre. Mais nous ne nous sommes jamais affol�s. Les dix premi�res minutes n'ont pas �t� �videntes mais on a regagn� du terrain petit � petit, on a su les faire douter en essayant de garder la balle quand il fallait et en essayant de contrer quand il fallait. Ce n'est pas toujours �vident de mener 1 � 0 quand il reste 15 minutes � jouer. Contre la Cor�e du Sud (1-1, premier tour) nous n'avions pas �t� r�compens�s. Mais tout le monde se bat pour tout le monde, et �a c'est extraordinaire dans une �quipe. Apr�s, � l'arriv�e, c'est parfois quelqu'un d'autre, cette fois c'�tait moi.

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