R�gions Centre : TIZI-OUZOU
Plusieurs infrastructures culturelles et sportives promises d�s la rentr�e


On se rappelle, enfin, de la jeunesse et de ses besoins en mati�re d�infrastructures de loisir, on s�aper�oit, enfin, que les occupations saines, utiles et agr�ables constituent une fa�on de vivre, un moyen de lutte efficace contre la d�linquance, une m�thode de la formation citoyenne et d�insertion des jeunes dans la vie active.

Ce secteur laiss� pour compte, consid�r� comme quantit� n�gligeable, au niveau de la wilaya o� le ch�mage est end�mique et o� m�me les 100 locaux du programme �lectoral du pr�sident se font toujours attendent, l�annonce d�un programme de livraison des infrastructures destin�es aux jeunes repr�sente un fait nouveau, un �v�nement, qui ne doit pas passer inaper�u. La wilaya annonce, en effet, la livraison en septembre prochain de 3 maisons de jeunes, de 6 m�diath�ques, de 7 foyers de jeunes et de 22 terrains de sport de proximit�. Les trois premi�res structures se situent � Boukhalfa, Ouadhias et Ouaguenoun, les 6 suivantes � Irdjen, Tizi- Rached, Azazga, Timizart, Dra�-El-Mizan et Larb�a- Nath-Irathen, les 7 foyers � Bouzegu�ne, Tizi- Rached, Ouacifs, Dr�a-Ben-Khedda, Tadma�t, Illoula Oumalou et B�ni- Ziki. Quant aux terrains de sport de proximit�, 2 se situent � Ouadhias, 2 � Yakouren, 3 � Tadma�t, 2 � Tizi-Ghennif, 2 � Tigzirt... Pas moins de 24 localit�s sont concern�es par une, deux ou trois types de structures livrables � la rentr�e sociale dans le but d�accueillir les activit�s culturelles et sportives des jeunes et de les �loigner des tentations nocives pour eux-m�mes et pour la soci�t�. Il reste � souhaiter que les maisons de jeunes, les m�diath�ques et les foyers soient dot�s de statut, de personnel qualifi� et des �quipements n�cessaires � l�accomplissement de leurs missions. Car, dans ces domaines, il y a eu, par le pass�, beaucoup d�h�sitation, de louvoiements, d�insuffisances et de perte de temps qui ont d�valoris� les structures mises en place aux yeux d�un grand nombre de jeunes. Le m�me souhait doit �tre exprim� � l��gard des terrains de sport de proximit� dont l�exp�rience vieille d�une dizaine d�ann�es a tourn�e court, tous les terrains ouverts au milieu de la d�cennie 1990 sont devenus des parkings, squatt�s par des jeunes de quartiers concern�s, sans un centime de rapport aux collectivit�s, une reconversion qui s�est op�r�e gr�ce au laisser- faire des autorit�s locales. B. T.

Un enseignant crie � l�irrespect des r�gles d�urbanisme
A�t-Seddik Tahar de A�n-El-Hammam, enseignant de son �tat, ne sait plus � quel saint se vouer pour faire respecter les r�gles d�urbanisme viol�es par un voisin � la faveur des travaux de r�habilitation et de confortement des logements de fonction. Le voisin a effectu� une extension illicite empi�tant sur la voie d�acc�s commune d�sormais r�duite � 1,50 m au lieu d�une largeur initiale de 3,50 m. �De ce fait mon logement est transform� en tombeau, mes fen�tres sont inutiles, je n�ai plus droit aux rayons de soleil et � la lumi�re du jour et l�intimit� de ma demeure vient de subir une autre d�agression de l�OPGI qui a ouvert une fen�tre sur le m�me c�t�. Apr�s maintes r�clamations aupr�s des services concern�s, un PV est dress� par une commission diligent�e par l�ex-wali, en janvier 2006, qui demeure malheureusement sans effet concret sur le terrain. Ce silence m�autorise � conclure que les autorit�s m�en veulent d��tre de la famille qui revendique la propri�t� sur laquelle est b�tie la cit� en question. La justice et l��quit� voudraient que ma famille d�poss�d�e par l�administration coloniale, mon p�re a �t� jet� en prison � cause de son refus de c�der sa propri�t�, r�cup�re au lendemain de l�ind�pendance le terrain qui a servi d�assiette � l��dification de la cit� et de l��cole de gar�ons ou tout au moins qu�elle soit indemnis�e. Rien de tout cela n�est arriv� en d�pit de nos d�marches. Plus grave, le logement de fonction que j�occupe en ma qualit� d�enseignant est encercl�, agress� de toute part par des extensions illicites qui s�effectuent dans l�indiff�rence totale des autorit�s locales et des services concern�s, �crit en substance le plaignant dans sa derni�re correspondance au wali en date du 27 mai 2006.
B. T.

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