R�gions Centre : BREVES DE TIZI-OUZOU
Menace de gr�ve dans des r�sidences universitaires


Deux sections syndicales universitaires, celles de Didouche- Mourad et de Boukhalfa, affili�es � l�UGTA, menace de d�clencher une gr�ve illimit�e � partir de la fin du mois de Ramadhan. C�est ce que l�on peut lire dans une d�claration d�pos�e � notre bureau d�non�ant l�arbitraire et les d�passements caract�ris�s, notamment par les passe-droit, la discrimination et le favoritisme en mati�re de promotion, les recrutements abusifs, le chantage et des irr�gularit�s non pr�cis�es.

Les deux sections, qui appellent pour concertation leurs camarades des autres r�sidences, exigent la reconnaissance de leurs structures et le respect du droit � l�exercice syndical, la r�gularisation des vacataires ainsi que ceux qui ouvrent droit � la promotion et aux avancements, la dissolution et le renouvellement des commissions des �uvres sociales et paritaire, l�am�lioration des conditions de travail, l�acc�s � la formation, la r�partition des logements sociaux non encore attribu�s et la lib�ration des logements d�astreinte occup�s par les b�n�ficiaires de logements sociaux. Leur d�claration fait office d�un pr�avis de gr�ve au cas o�, d�ici la fin du Ramadhan, ces revendications ne sont pas satisfaites.

A quand des jugements s�ils ne sont pas appliqu�s
C�est la question que pose Mme A�t-Aider Noura dans une lettre destin�e au premier magistrat du pays se plaignant du fait que son ex-mari d�fierait toutes les lois de la R�publique en la s�parant de ses enfants malgr� le jugement du 8 f�vrier 2005, rendu par le tribunal d�Azazga, sur le divorce lui confiant la garde de ses enfants en bas �ge, un gar�on de 3 ans et une fille de 6 ans, au moment de leur �enl�vement� par leur p�re les 16 et 17 octobre 2004. Jugement confirm� par la cour de Tizi-Ouzou en date du 21 d�cembre 2005 sous le n� 1739/05 comportant l�obligation de restituer les enfants � leur m�re, le droit � une pension alimentaire et � un logement � charge de l��poux, pr�cise-t-elle dans sa requ�te au pr�sident de la R�publique. Elle ajoute que les huissiers auxquels elle confi� les jugements n�ont pas r�ussi � les faire ex�cuter se contentant d�adresser des correspondances avec accus�s de r�ception demeur�es sans effet. La requ�rante demande au premier magistrat du pays de r�tablir le cours de la justice et d�actionner les instruments de protection des droits des citoyens.
B. T.

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