Le limogeage de Karim A�ouaz de son poste de DTN /FAB continue de faire r�agir les acteurs, pass�s et pr�sents, du noble art en Alg�rie. Apr�s les n�cessaires clarifications apport�es par le directeur technique national d�chu, c�est au tour de l�ex-pr�sident de la FAB, le Dr. Mohamed Soltani de �remettre les choses dans leur contexte�, suite aux �propos du d�sormais ex-DTN de la f�d�ration�.

Des affirmations que le Dr Soltani n�a pas appr�ci�es en notant, d�embl�e �Le d�sormais ex-DTN affirme qu�il a applaudi notre mise � l��cart parce que nous avons failli, en terme d�orientation et de missions en ce sens que la pratique se dirigeait in�luctablement � la d�rive. Je lui rappelle que six membres du bureau pr�sid� par le Dr. Soltani qu�il fustige figurent parmi l�actuel bureau dirig� par mon successeur. Ce sont ces m�mes membres qui ont approuv� sa nomination au poste de DTN sans qu�il ait les comp�tences requises. Comment pouvait-il postuler au poste de DTN d�une grande f�d�ration alors qu�on n�a jamais form� un seul boxeur ou encore encadr� un club class� en championnat national ? L�incomp�tence est av�r�e parce que M. A�ouaz qui pr�tend �tre un expert en boxe en �tant, en outre, le meilleur entra�neur en Alg�rie quand il �tait enseignant � l�ISTS n�a rien justifi� quand il est arriv� aux commandes de la DTN. En l�espace de trois mois, il s�est rendu compte que la r�alit� du terrain ne peut �tre supplant�e juste par les th�ories apprises � l��cole �. L�ancien pr�sident de la FAB rappelle que son instance n�a pas failli � ses missions puisque �Un travail en profondeur a �t� initi� et men� depuis 2005 et qui consistait � mettre en place une politique de prise en charge des jeunes talents encadr�s par un entra�neur �tranger comp�tent et qui formaient un p�le national d�excellence avec des p�les r�gionaux respectivement � A�n Azel, Boudouaou, Mostaganem, Timizrit etc., avec pour objectifs la 1re place aux Jeux africains d�Alger et une m�daille aux JO de P�kin. Malheureusement, celui qui pr�tendait faite mieux a pris les commandes de la DTN et a d�truit toutes les potentialit�s qui existaient au sein de l�EN, boxeurs et entra�neurs. Heureusement que la d�cision de mise de fin de fonction est venue pour arr�ter le massacre�. Invit� � se prononcer sur la situation qui pr�vaut au niveau de la pratique pugilistique, lui qui n�a pas pu poursuivre son mandat � la t�te de la FAB, l�ancien pr�sident a pr�f�r� laisser l�actuel bureau activer. �La mission est difficile, mais pas impossible �, s�est content� de dire. M. B.

Format imprimable