Chutes de neige, mais pas de d�g�ts
Fort heureusement, les fortes chutes de neige enregistr�es jeudi matin n�ont pas fait de d�g�ts, contrairement aux ann�es pr�c�dentes, a-t-on constat�. Les axes routiers Sa�da-Sidi-Boubekeur, Sa�da-El-Hassasna et Sa�da-A�n-El-Hadjar, eux aussi, n�ont pas connu de perturbations, et ceci, gr�ce � l�intervention de l�APC de Sa�da et la Protection civile qui ont mobilis� � temps leurs moyens mat�riels et humains, et l�, nous profitons au passage pour pr�senter nos sinc�res condol�ances au commandant, Si Brahim, qui vient de perdre son p�re � Akbou. En somme, il n�y a pas �t� enregistr� le moindre d�g�t mat�riel ou accident de circulation. Par contre, la question qui est remise sur le tapis, c�est celle des avaloirs et des regards dont nombre d�entre eux dans certains quartiers de la ville, ne sont pas fonctionnels. Heureusement, l� ausi, la bont� divine �tait pr�sente ce jour-l�, puisqu�il n�y a pas eu point d�inondations. N�emp�che que la probl�matique reste enti�rement pos�e en mati�re de r�cup�ration des eaux pluviales. A m�diter. M. B. A.

Un dangereux malade mental s�me la terreur
Ici, � Sa�da, tout le monde a remarqu� qu�un grand nombre d�ali�n�s investissent de plus en plus les rues et art�res principales de la ville. L�un d�entre eux, surnomm� par tous les Sa�dis �Tayeb le Chinois� en raison de ses origines asiatiques, ne cesse d�agresser verbalement les passants et parfois physiquement en leur lan�ant divers objets pouvant leur occasionner des blessures. Chaque jour que Dieu fait, il accoste surtout les femmes pour leur soutirer des sous. Si celles-ci refusent de lui en donner, il les agresse verbalement avant de se d�cha�ner sur elles en tentant de les embrasser parfois de force. �Faut-il attendre qu�il tue quelqu�un pour que les services comp�tents se d�cident enfin � le retirer de la circulation�, s�interrogent les citoyens. Pour les autres malades mentaux, dont plusieurs d�entre eux viennent des communes avoisinantes qui ont perdu raison et famille. On les voit errer un peu partout� en ville. A quand leur prise en charge m�dicalement pour �viter que le pire survienne.
M. B. A.

Nombre de lectures :