R�gions Ouest : RELIZANE
Journ�e d'�tude sur le d�pistage du cancer du sein


C�est au secteur sanitaire Mohamed-Boudiaf du cheflieu Relizane que plus de 100 m�decins g�n�ralistes et param�dicaux se sont regroup�s durant la journ�e d�aujourd�hui consacr�e � l��tude du d�pistage du cancer du sein. Cette journ�e d��tude et de sensibilisation a �t� organis�e par l�association El Hayet sur les espaces de naissance, Intervenant � ce propos, le Dr Messad, �pid�miologue du centre hospitalo-universitaire d�Oran, a pr�sent� une d�finition du cancer, mettant la lumi�re sur les facteurs de risques, premi�re cause de la mortalit� dans le monde.

L�oratrice a longuement expos� sur le d�pistage du cancer, gyn�cologie, pr�cisera-t-elle qui, au cours de l�ann�e 1996 jusqu�� 2005, 3 196 cas de gyn�cologie ont �t� enregistr�s dans l�ouest du pays, en premier lieu le cancer du sein, en deuxi�me position le col, l�ovaire, le vagin, l�ut�rus et la vulve. Le deuxi�me intervenant, le Dr Koceir, repr�sentant le laboratoire Organon, a ax� son expos� sur la pilule Mercilon pour une juste dose, et les diff�rentes m�thodes contraceptives ayant pour but le confort, la tranquillit� de la femme et sur l�appareil du biper Rimindher qui permet de faire rappeler � la femme la prise quotidienne, � la m�me heure, la pilule Mercilon qui assure la l�g�ret�, le confort et la tranquillit� pour la femme qui utilise ce contraceptif. Le troisi�me intervenant le d�l�gu� � l�information m�dicale du laboratoire Fasska, a mis en exergue les prot�ines que contient le lait maternel et sur l�importance qu�il prend dans la croissance du corps et du cerveau du b�b�. Selon l�orateur, aucun produit laitier quelle que soit la mati�re � base de laquelle il est con�u, ne pourra remplacer le lait maternel, ni se mettre au niveau de la composition incomparable de ce lait.

OPGI
Le sit-in des travailleurs devant le si�ge de la DG non autoris�

Les travailleurs, relevant de l�Office de promotion et de gestion immobili�res de Relizane, �taient moins nombreux hier � affluer vers le si�ge de la direction g�n�rale pour protester contre la non-satisfaction de leurs revendications. Ce rassemblement �tait non autoris� par la tutelle, selon des sources cr�dibles, ces protestataires recourent � la perturbation et le bon d�roulement de la direction g�n�rale.
A. Rahmane

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