Certains sinistr�s, notamment des commer�ants de la commune de R�gha�a, ont �t� laiss�s en rade par les pouvoirs publics en mati�re d�indemnisation et d�assistance suite au s�isme du 21 mai 2003. C�est le cas de le dire pour quelques-uns r�duits au ch�mage et � la pr�carit� au lendemain de ce tremblement de terre. Or la commune en question avait attribu� des lopins de terre et des autorisations de construction � une cat�gorie de commer�ants, qui avait subi des dommages.
Par contre, des propri�taires de locaux, particuli�rement d�un b�timent qui a �t� quelque peu alt�r� mais ne pr�sentant pas un danger pour les occupants et les commer�ants du rez-de-chauss�e et qui a �t� d�moli pour des raisons inconnues, n�ont, � ce jour, rien vu venir. A noter que ces commer�ants qui se consid�rent, selon M. Ould Hamouda, comme l�s�s, attendent une hypoth�que aide. �Nous sommes r�duits au ch�mage et � la pr�carit�. Nous avions tout perdu et les autorit�s communales de l��poque avaient aid� certains mais pas nous�, dit-il am�rement. Effectivement, il est question, selon nos informations, des attributions apr�s le s�isme d�espaces affect�s � Dar-El-Be�da pour la construction de locaux commerciaux � des individus qui n�auraient, en fait, rien perdu lors de la catastrophe de 2003.
Abachi L.

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