R�gions : A�N DEFLA
Les chiens et chats errants constituent un danger pour la population


Cette ann�e, deux personnes sont mortes de rage, � la suite de morsures de chiens errants, l'une � Bourached l'autre � El Abadia, deux communes � l'ouest du chef- lieu de wilaya de A�n Defla.
Le nombre de personnes mordues est tr�s �lev�, selon des sources cr�dibles. A Khemis Miliana, les chiens errants se d�placent en meutes. Ils sont partout, au march�, entre les �tals surtout des boucheries, devant la poste principale se disputant ce qui reste de place sur les trottoirs squatt�s par le commerce informel. On les voit aussi dans la journ�e affal�s sur les rigoles au bord des chauss�es, haletants, a la recherche de fra�cheur. Il n'est pas rare de voir des passantes se sentant menac�es par une de ces b�tes hargneuses faire des bonds sur la chauss�e au risque de se faire heurter par une voiture. A la tomb�e de la nuit, d�s que l'animation diminue, ils obstruent certaines rues et interdisent le passage aux retardataires. La nuit c'est aussi pour ces animaux le moment id�al pour s�alimenter. Ils vont alors � la chasse aux sachets d�pos�s sur les trottoirs. Et ils ne sont pas seuls puisqu'ils sont rudement concurrenc�s par les chats. Certes, des battues sporadiques sont organis�es �mais comme par enchantement�ces soirs-l�, les chiens disparaissent�, nous dit un �lu. Par ailleurs, on a pu noter que pour mieux dormir et �tre r�veill�s en cas de visites incongrues, certains gardiens de parking se livrent � ce jeu de l�cher leurs meutes, au grand dam des riverains et des passants, et ce, tous les jours que Dieu fait. Cette situation n�est pas sp�cifique � Khemis Miliana, puisqu'on peut la constater dans d'autres agglom�rations comme El Attaf, Djendel, Djelida, El Abadia et Bourached.
Karim O.

Un homme retrouv� pendu � un arbre � Hammam Righa
Vendredi dernier, un homme a �t� retrouv� aux environs de 15h30 par des passants pendu, � l'aide d'une corde, � un arbre au lieudit Bouznag, situ� sur le versant sud de la ville de Hammam Righa, non loin de la cit� o� il demeurait. Selon des sources locales cr�dibles, le d�funt, B. Mohamed, 47 ans, c�libataire, souffrait de troubles mentaux et �margeait m�me � l'aide sociale dont b�n�ficient les handicap�s mentaux. Sa d�pouille, d�tach�e de l'arbre, a �t� d�pos�e par les agents de la Protection Civile � la morgue de l'h�pital de Khemis-Miliana. Une enqu�te a �t� ordonn�e par le procureur de la R�publique pour d�terminer les causes pr�cises � l'origine de cette mort.

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