R�gions : MASCARA
La section du Cnes condamne


Les enseignants de l�universit� Mustapha-Stambouli de Mascara ont tenu une assembl�e g�n�rale le 20 octobre dernier.

Dans un communiqu� dont une copie nous a �t� remise, ils tirent la sonnette d�alarme suite � la mort tragique de leur coll�gue Mohamed Benchehida � l'universit� Abdelhafid-Ibn Badis de Mostaganem. Ils condamnent avec la pus grande fermet� cet acte odieux dont a �t� victime leur coll�gue. Mettant en garde contre toute justification de ce crime, ils r�clament une sentence exemplaire. Ils poursuivent en s�inqui�tant de la g�n�ralisation et de la banalisation des agressions sur les enseignants dans l�enceinte universitaire. Le Cnes de Mascara impute cette situation � l�absence de r�glement int�rieur, � la violation des franchises universitaires, au non-recours syst�matique au conseil de discipline, et au laxisme des responsables. A chaque d�lib�ration, font-ils remarquer, les enseignants sont assaillis et harcel�s par les �tudiants pour qu�ils leur gonflent les notes. L� aussi, ils pointent un doit accusateur sur l�administration. Toujours dans le m�me document, ils se disent outr�s par ce qui s'est pass� lors de la c�r�monie organis�e par l'administration � l�occasion de la promotion du centre universitaire de Mascara au rang d�universit�. Durant la c�r�monie, aucun mot, aucun geste, aucune allusion sur ce crime odieux, d�clarent-ils.
M. Meddeber

Des trombes d�eau se sont abattues sur la ville
La ville de Mohammadia a connu lundi dernier un v�ritable d�luge. En effet, � partir de 16h45 et en l�espace de sept minutes, de fortes pluies se sont abattues sur la ville et plusieurs art�res principales ont �t� submerg�es par les eaux. La circulation a m�me �t� interrompue au niveau de la tr�mie pendant un long moment. Plusieurs interventions des �l�ments de la Protection civile ont �t� enregistr�es, et le lendemain, mardi, la situation est revenue � la normale. Une cellule de crise a �t� install�e au niveau de la da�ra pour parer � toute �ventualit�. Heureusement, il n�y a pas eu trop de d�g�ts. La m�me situation a �t� quelque peu v�cue � Hacine o� des citoyens sont rest�s sur le qui-vive pendant la nuit.
M. M.

Nombre de lectures :

Format imprimable  Format imprimable

  Options

Format imprimable  Format imprimable