Les conditions technologiques et de march� pour le d�veloppement du paiement par mobile existent, selon le directeur g�n�ral de Microsoft Alg�rie, Samir Sa�d.

En marge, hier, au si�ge d�Alg�rie T�l�com, de la pr�sentation de solutions technologiques pour les acteurs de la sc�ne bancaire, Samir Sa�d a estim� que le d�veloppement de ce type de paiement est �envisageable�. D�autant, selon lui, que m�me si l�utilisation du ch�que et du cash reste de mise et que la mon�tique se d�veloppe, l�existence d�infrastructures, t�l�phones et r�seaux mobiles, les technologies actuelles et la pr�sence d�un march� potentiel favorisent n�anmoins le d�veloppement du paiement par mobile. Un exemple notable, selon Samir Sa�d, de ce que les technologies de l�information et de la communication, qui sont �l� et les solutions globales et int�gr�es que d�veloppe Microsoft, et en collaboration avec Alg�rie T�l�com, peuvent apporter au profit des banques, en termes d�am�lioration de leur comp�titivit� et relationship avec la client�le, de diff�renciation par l�innovation. En contribuant, notamment � travers l�automatisation des processus de cr�dits, les paiements par GSM, la collaboration et la mobilit�, ainsi que les solutions de CRM, � la r�duction des co�ts, l�augmentation de la productivit� et la mise en place d�outils de gestion. En contribuant � la modernisation des r�seaux bancaires internes archa�ques et qui repr�sentent 80% des co�ts d�exploitation. A charge cependant, selon que le d�l�gu� g�n�ral de l�Association des banques et �tablissements financiers (ABEF), Abderrahmane Benkhalfa, d�assurer la s�curisation et le d�veloppement des transactions bancaires. Pour le d�l�gu� g�n�ral, il n�y a pas de fraude ou d�incidents bancaires m�me si le r�seau bancaire reste encore lourd. Pour le repr�sentant de l�ABEF qui a �voqu� la migration d�une banque de �papier� � une banque �lectronique, les banques et surtout Alg�rie T�l�com doivent continuer � coop�rer en termes de garantie, s�curisation et d�veloppement de nouveaux protocoles. En indiquant qu�il faut r�fl�chir sur la jonction en ligne de millions de distributeurs automatiques de cartes.
C. B.

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