Vox populi : VOS MESSAGES

R�ponse � M. algerie16409
c'est beau la d�mocratie quand on respecte les avis des autres sans �tre offusqu�, et les seuls qui n�ont pas tol�r� cette r�gle ce sont bien les �Fissistes�. J�ai remerci� Monsieur Belkheir, je persiste et signe sans lire l'histoire car il s'agit d'un pass� tr�s r�cent, responsable des 200 000 morts. Vous auriez d� user de votre courage pour dire que les seuls responsables de cette trag�die sont les int�gristes, les �Fissistes� et, pour �tre plus clair, Madani et Benhadj.

Est-ce Belkheir qui a incit� � la r�volte ? Est-ce Belkheir qui a dit qu'on va �afghaniser� l'Alg�rie ? Est-ce Belkheir qui a envoy� une lettre d'hommage � Cherif Gousmi ? Est-ce Belkheir qui a proclam� des fetwas ordonnant la mort de tous ceux qui sont contre le FIS ? Est-ce Belkheir qui a fait le cirque du stade 5-Juillet en usant du laser pour �crire �Allah� dans un rassemblement de voyous ? Maintenant qu'il est dans un lit d'h�pital, est-ce encore lui qui a assassin� les gendarmes de Bordj Bou Arr�ridj ou les citoyens de ce soir m�me � Tizi-Ouzou ? Voila Monsieur ! Si pour vous Monsieur Belkheir est responsable du malheur qui a frapp� le pays, moi, en toute libert�, je rends responsables les int�gristes du FIS et tous les sympathisants de ce parti �nazi� qui continue encore � faucher des vies innocentes partout dans le monde au nom de la religion. Je responsabilise les hypocrites qui ont mang� � toutes les sauces pour rester en vie l�chement et sur le dos des milliers de braves qui ont combattu ces criminels sans scrupules. Je responsabilise les primitifs intol�rants qui ont fait de notre pays un cimeti�re o� il est interdit de penser autrement que les p�rim�s de l'histoire. Je responsabilise ceux qui ont la libert� de construire des mosqu�es partout dans le monde et qui harc�lent une fille parce qu�elle lit la Bible, je r�it�re mon appui � Monsieur Belkheir et je ne l'ai pas fais avant � ce que je sache, mais maintenant que son �tat d�range les int�gristes qui esp�rent chaque matin avoir la nouvelle de sa mort et m�me si cela arrive, qu'ils sachent que le FIS ne reviendra jamais, l'Alg�rie ne sera jamais l'Afghanistan ou le Soudan et que la libert� triomphera tant que les vrais Alg�riens ont encore le c�ur qui bat. Vive Monsieur Belkheir, vive Liamine Zeroual, vive Nezzar, vivent nos valeureux soldats, vivent nos services de s�curit�, vivent tous ceux qui ont combattu le FIS.
NB : je n'ai pas d'information concernant ce que Monsieur Belkheir a centralis� ou d�centralis� (services sp�ciaux). �a ne rel�ve vraiment pas de mes connaissances, ce que je sais par contre � selon les d�finitions qui ont �t� �tal�es � l'�poque � c'est que je peux m'identifier comme un �radicateur radicaliste. Je suis libre de dire que je veux bien qu'un jour notre pays sera libre et la�que : la mosqu�e � droite et le bar � gauche ; c'est � nous de choisir librement o� aller, c'est � moi de choisir si je veux aller au paradis ou en enfer et ce n'est pas � Benhadj ou Madani. (�) Qu�elle est belle la d�mocratie, au moins ici (Canada), on n'�teint pas le micro pour nous �touffer comme ils le font ailleurs.
Habbib

Pourquoi la loi sur la r�conciliation nationale a-t-elle �t� viol�e ?
Comment, un homme peut-il croire dans ce pays ? Comment peut-il lui faire confiance ? Comment peut-il ne pas finir par ne croire en personne, puis en rien ? Toute cette s�rie de questionnements refl�te exactement la situation dans laquelle se trouve un p�re de famille, ancien r�volutionnaire (officier de l�ALN) et ancien cadre de la nation (d�put�). Pour la circonstance, donnons- lui seulement les initiales de B. S. Cet homme, en accentuant bien s�r le vocable, SVP, apr�s avoir applaudi � la politique de la r�conciliation nationale et la loi qui en d�coulait, est devenu tr�s sceptique. Un de ses fils, appelons- le B. M., avait �t� emprisonn� 13 ann�es durant � Serkadji pour des faits li�s � la trag�die nationale. Parce que non reconnu coupable de crimes s��loignant du champ de la loi promulgu�e par le pr�sident de la R�publique et portant r�conciliation nationale, B. M. a �t� lib�r�. Il retrouve les siens, � leur grande joie. D�autant plus que le p�re de B. M., B. S., �g� de 80 ans, et sa maman, �g�e de 74 ans, ne pouvaient plus rendre visite � leur prog�niture, surtout que ce dernier avait �t� transf�r� � maintes fois de Serkadji vers d�autres prisons (Batna, Constantine et M�d�a). Dans les disposions de la loi sur la r�conciliation nationale, �il est pr�vu l�extinction de toutes les poursuites judiciaires relevant d�anciennes affaires � l��gard des b�n�ficiaires de ladite loi�. Mais pas pour B. M. Ce dernier n�est pas auteur d�une quelconque violation de la loi. Au contraire, il a commenc� � d�velopper une petite affaire (l��levage caprin et bovin). Alors que tout semblait aller pour le mieux pour la famille de B. S. et pour B. M., � la grande surprise de tous, voil� que tout s��croule. B. S. apprend que son fils, B. M., est recherch� par la justice pour une affaire qui remonte aux ann�es o� il �tait en prison. Des poursuites qui devaient cesser au regard de la loi susmentionn�e. Non, B. M. est condamn� � perp�tuit� par contumace par le tribunal de Sidi M�hamed. Inutile de rappeler les circonstances ayant entour� le jugement de cette affaire. B. M. re�oit une convocation, remise par les policiers, qui le somment de se pr�senter au tribunal pour �tre jug� le m�me jour. Bien entendu, B. M. ne s�est pas rendu � son proc�s par crainte d��tre incarc�r� � nouveau. Depuis, B. S. ne cesse de s�interroger : �Pourquoi promulgue-ton des lois que les structures de l�Etat, � l�instar de la justice, ne respectent pas ?� Pour lui : ��a ne peut-�tre qu�une arnaque.� �Une arnaque de plus.� Plut�t, chacun interpr�te la loi � sa guise, et ce, en opposition au pr�sident de la R�publique, initiateur de ladite loi�
A. A.

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