En rejoignant les contestataires, le Conseil des lycées d’Alger (CLA) a donné au mouvement un second souffle. Les lycées étaient hier paralysés tandis que beaucoup d’écoles primaires, qui étaient dans l’expectative le premier jour, ont fait grève hier. Comme à l’accoutumée, le ministre de l’Education a saisi la justice qui a déclaré le mouvement illégal. Les syndicalistes affirment n’avoir reçu aucune notification et ne comptent pas appeler à l’arrêt de la grève. Suite...