Il est certes vrai que le citoyen a le droit de savoir, il faut n�anmoins rappeler que M. A. A., puisque c�est de lui dont je parle, a le devoir de bien informer et par cons�quent, il n�a pas le droit de d�naturer les faits qui seraient susceptibles d�avoir une incidence, non permise, aussi bien sur le boxeur et sa carri�re, et par la m�me nuire au noble art, qui, faut-il le souligner, survit gr�ce aux efforts d�ploy�s par la Commission nationale de boxe professionnelle, et ce, sans contrepartie aucune, vu l�absence de moyens, voire d�int�r�t.
Contester la qualit� du promoteur n�cessite un rappel du respect de la r�glementation approuv�e par les membres de ladite commission. Pouvons-nous remettre en cause une licence d�un promoteur-manager, en l�occurrence M. Yefsah, qui a �t� d�livr�e par la CNBP. Le gala qui s�est d�roul� en date du 12 novembre 2009 � Tizi-Ouzou (M. A. A. �tait absent � ce spectacle) a �t� bien autoris� par la CNBP comme gala international en l�absence des documents officiels (provenant de la NABF et WBC pour le titre) que nous avons r�clam�s � maintes reprises mais qui est rest� sans suite. (Avis accept� par le Dr Benssalem, pr�sident de la FAB). Comment d�s lors utiliser le terme �titre� dans les trois articles en notre possession parus en date des 10, 12 et 17 novembre 2009 ? En ma qualit� de pr�sident de le CNBP, j�avais inform� M. A. A. des raisons de cette situation. Aucun titre n�a �t� d�s lors annul� puisque il n�en existait pas. Chebah, �ce petit ange�, ne pouvait en aucun cas remettre des titres en jeu comme d�ailleurs confirm� dans votre article du 17 novembre 2009 venu contredire les articles parus les 10 et 12 novembre 2009. Le soi-disant crochet encaiss� par l�organisateur surprend les membres de la CNBP qui pourtant �taient sur les lieux pour veiller au grain. Il faut que M. A. A. sache que l�amour que nous portons au sport et � la boxe l�a �t� et demeurera contre toute basse besogne.
P/la CNBP, le pr�sident, Rachid Foukroun

Nombre de lectures :

Format imprimable