Vox populi : Aimons-nous� l�humanit� nous interpelle

Mon pr�sent texte peut para�tre �trange pour certains certes, qui iront jusqu�� le classer hors rubriques, ou, voire, refuser sa publication� mais ce dernier n�en manquera pas de beaut� � qui sait lire car le bonheur s�y trouve, et pour en tirer profit, il faut un �prodigue labour� de cet �crit� Dans un grand monde aussi mauvais, qui ne se reconna�t plus, absorb� par le mat�rialisme et d�nu� de sentiments, il faut savoir chercher et cr�er son propre petit monde, m�me �troit, afin de �dresser� sa bonne aise morale et somatique.
A d�faut, le virtuel restera � l��coute du r�el et inversement. Le mal d�licat des gens et des populations est, qu�en cas de besoin, ils ne trouvent personne � leur �coute. Rester � l��coute de quelqu�un ne veut point dire r�gler tous ses maux avec une baguette magique ! Mais lui faire ressentir qu�on est autant affect� par ses probl�mes et ses pr�occupations et aussi qu�on lui partage ses moments de gaiet�. Pour sa part, il ne demandera pas plus que �a� N�anmoins, l��criture, la lecture et l�intellection resteront la seule arme pour r�veiller toutes ces consciences �ensevelies� dans la vengeance et le pi�tinement des droits communs, dont et surtout le droit � la vie en paix et le droit � la mort en paix. Arr�tons toutes ces fosses communes, tous ces cadavres enterr�s en groupe sans aucune consid�ration, tous ces morts au quotidien qui ne se chiffrent plus avec exactitude par les m�dias (dit-on : 200 � 300 morts par jour !), prouvant malheureusement que la vie humaine n�est plus cot�e de notre �re. Alors que le �Royaume de Dieu� se secoue fortement � chaque effusion d�une goutte de sang sans droit. De par la banalit� des crimes dans ce monde horrible, qui ne devait �tre de la sorte, on ne doit nullement rester insensible et r�fractaire par rapport � tous ces d�lits qui secouent la plan�te et vont � l�encontre de la logique universelle. Toutes ces guerres qui se nourrissent de haine sont la preuve de la disparition de l�amour, en son sens le plus large. Au moment o� les mauvais c�urs, anim�s de pens�es aussi malveillantes qu�agressives, sont en train de renforcer leurs rangs sans scrupule, au su et au vu de tous, en trouvant m�me une l�gitimit� � cela. Pourquoi les �mes du bien n�en feront pas autant alors que la l�gitimit� d�union leur appartienne de droit. Au lieu de r�unir toutes nos forces pour sauver ce qui reste de cet univers aussi myst�rieux que fragile, on s�adonne � utiliser nos technologies pour s�autod�truire. Loin de toute consid�ration partisane ou religieuse, je me permets de vous narrer une histoire pleine d�amour et d�extraordinaires conclusions :
A l��re du proph�te Mohammed (QSSSL), il y avait un voisin qui ne ratait pas une occasion de l�offenser par ses dires, mettre des obstacles sur son chemin, lui faire du mal, sans que le Proph�te ne r�agisse � ces actes. Pass�rent des jours et des nuits sans que le proph�te Mohammed n�aper�oive son voisin. Il demanda alors � ses amis (�sahaba�) :
- O� est pass� mon voisin je ne le croise plus sur mon chemin, il y a de cela plus d�une semaine ?
- Mais il est malade, lui r�torqua un des �sahaba�.
D�s que le Proph�te prit connaissance de cette nouvelle, il se pr�cipita pour lui rendre visite. A son aper�u, ce voisin �ind�licat� s��tonna de cette visite et lui r�plique :
- H� ! dit Mohammed, pourquoi tu me rends visite alors que moi je n�arr�tais pas de te nuire ?
Le proph�te Mohammed r�pondit :
- Mais c�est notre religion qui nous ordonne de le faire. Le voisin s��tonna de nouveau :
- Vous devez avoir une sacr�e religion que je d�sire bien �pouser, et je regrette tous mes m�faits ant�rieurs.
PS : Cette histoire, � elle seule, suffit pour g�rer le monde�
redokou@yahoo.fr

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