Les projets de d�veloppement, con�us dans le cadre du partenariat public-priv� pourraient comporter des installations surdimensionn�es, voire surexploit�es.
C�est ce que l�avocat associ� du cabinet international Lef�vre- Pelletier, Me Olivier Ortega, a sugg�r�, hier, lors de la seconde et derni�re journ�e du s�minaire consacr� au mode de financement Project Finance, � l�h�tel El Aurassi, et ce, d�autant, selon ce juriste, qu�il s�agit d�optimiser, au mieux, les recettes g�n�r�es par ce projet dont les promoteurs, contractants au sein d�une soci�t� de projet, se partagent tant le financement sur fonds propres ou par endettement que l�ensemble des risques li�s � toute la cha�ne de r�alisation. Selon cet intervenant, les �tudes et le processus de contractualisation et de montage du projet doivent cerner toutes ces questions. Avec comme pr�alable, l�identification, la hi�rarchisation et la valorisation, selon leur degr� d�occurrence, et l�allocation de l�ensemble des risques du projet entre les participants, les risques de �d�rapages� �tant in�vitables. Mais aussi l�optimisation des co�ts, une d�marche suivie d�affinement, l��valuation pr� et post-r�alisation, un choix efficient du mode contractuel, une bonne visibilit� et lisibilit� tant du projet que de son environnement�
C. B.

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