Vox populi : Le B�ninois� b�ni par les Pharaons

L�Afrique a d�montr�, une fois de plus, par le biais de la CAF, qu�elle fait bel et bien partie de ce �pauvre� tiers-monde, et qu�elle a toujours besoin d�une assistance europ�enne m�me en mati�re d�arbitrage de ses rencontres internes de football. Le d�shonorant match de demi-finale de la Coupe d�Afrique des nations 2010 (CAN), opposant l��gypte � l�Alg�rie, se passe de tout commentaire.
Ce qui devait �tre une agr�able partie de plaisir, au vu du niveau et de la place des deux formations, s�est transform�, � cause du bas rang de l�arbitrage, en un simple cafouillage de quartier� Une impartiale analyse de la rencontre nous am�ne � conclure ais�ment que le �sort� du match �tait �r�gl� avant le d�but de la partie. Chacun se demande quelle est l�utilit� du quatri�me arbitre et du commissaire du match, si ces derniers n�ont aucune efficacit� devant des erreurs flagrantes commises par les arbitres durant le match, surtout celles faussant en totalit� �l�allure � et la progression de la rencontre. Quand un joueur commet une faute, il est sanctionn� par un carton. Mais quand le referee se met hors jeu en �ex�cutant� des absurdit�s, qui va le mettre hors du terrain ? Tout �a pour dire que le r�glement de la FIFA est avilissant et tr�s v�tuste devant les technologies de la mondialisation. Si apr�s l�historique �rencontre- complot RFA-Autriche� de 1982, un article de la FIFA a �surgi� en faisant jouer les derni�res rencontres du groupe aux m�mes horaires, pourquoi les arbitres des rencontres ne sont-ils pas tir�s au sort et d�sign�s quinze minutes avant le match ? Cela ��viterait de traiter� avec ces derniers et de les accuser en �dam !�. L�arbitre b�ninois a d�abord commenc� par donner un carton jaune imaginaire � un d�fenseur alg�rien. Puis un carton rouge � ce m�me joueur suite � une faute commise dans la surface de r�paration, offrant ainsi un penalty en or � l��quipe �gyptienne. Mais le drame dans tout cela est que le penalty a �t� tir� en deux temps. Apr�s un premier �lan, le joueur s�est brusquement arr�t� � cinq centim�tres (ou moins) de la balle, avant de la �pousser� dans les filets. Devant ce geste interdit par le r�glement sportif, aussi bien de la CAF que de la FIFA, l�arbitre de touche n�a pas d�sign� le centre. Mais apr�s quelques instants d�h�sitation, l�arbitre b�ninois finit par accorder le but � la surprise de tous les spectateurs. Les �gyptiens eux-m�mes n�ont pas cru que le �fameux� but a �t� accord�. Il ne leur restait plus qu� �� b�nir� ce B�ninois ! Avec ce but, et apr�s s��tre mouill� � fond dans le Nil �gyptien, l�arbitre b�ninois ne trouvera pas meilleure jouissance que de poursuivre la �distribution� � tort de cartons rouges pour ainsi s�inscrire dans le Guinness des impudicit�s en portant � trois les cartons rouges pour les Alg�riens (sans compter les cartons jaunes) et � quatre le nombre de buts ! Les imperfections du �dirigeant � de cette rencontre se poursuivent et ne se ressemblent pas. D�abord il ne sait pas compter, il a fallu qu�on lui siffle � l�oreille que 1+1= 2. Rakif Halliche a ��cop� de deux cartons jaunes. La d�marche la plus logique serait de tirer un carton jaune (le second) qui sera automatiquement suivi, de suite, d�un carton rouge. Mais, trop distrait par �le gain du march�, le B�ninois a oubli� de tirer le carton rouge � l�encontre de R. Halliche si ce n�est le rappel � l�ordre� par un joueur �gyptien. Si ce referee sera sanctionn� par la CAF ou la FIFA, n�oublions pas qu�il a d�j� assur� ses arri�res� Il n�est absolument pas n�cessaire d��tre tr�s intelligent pour comprendre ce march� ! Si tout le monde s�accorde � dire qu�il ne s�agissait que d�une simple rencontre de foot, les �gyptiens n�ont toujours pu �aval� leur �limination de la Coupe du monde par l��quipe alg�rienne� Ils ne l�oublieront jamais !
Azzedine

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