Vox populi : HONTE À TOI... CODJIA

Je ne dis pas «vous», il est réservé aux adultes droits et matures. Tu as vendu ton âme au diable à l’âge de la retraite où les «hommes» partent l’âme en paix, toi tu pars la tête basse avec un boulet que tu traîneras pendant le restant de ta vie. Nous avons appris que tu as épousé une Égyptienne, je crois que c’est plutôt l’Egypte qui t’a épousé, t’offrant en dot un pécule de ripoux, un voyage de noces en avion avec son équipe et, en «réserve», une marque au fer chaud comme pour les animaux. Nos fils n’ont pas perdu un match à un poids deux mesures, ils ont trébuché sur un terrain miné, ils sont jeunes, ils vont se relever, car ils ont toute la vie devant eux.
Que des victoires et des joies dans la loyauté et la légalité. Quant à toi, pauvre malheureux, par ton acte bas et vil, tu as fait revivre l’esclavage moderne par le «bakchich», jadis aboli par Lee. Au nom de toutes les mères d’Algérie, je te dis «va brûler en enfer», certes nous ne connaissons pas les lois du foot mais nous avons été surprises de voir l’«art-pitre» courir vers le joueur adverse pour lui demander s’il a été touché. Chez nous, cela se passe en cours de maternelle, les compagnons de Halliche, eux, jouent dans la cour des grands, c’est-à-dire le Mondial. L’Égypte ne sera jamais notre égale, nous sommes une nation de guerriers, nous dédaignons les «acteursamateurs » de la «cité des morts». Quand la loi des hommes nous aura rendu justice, attends-toi au châtiment divin, soit maudit Coffi ! Tu ne l’emporteras pas au paradis.
Mme B. L., (Khenchela)



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