Tous les jours de la semaine et � part le vendredi, toute une cohorte de v�hicules de tourisme, de camions, de cars, de bus et autres engins de transport de voyageurs et de marchandises envahissent la ville d�s le lever du jour.
L�entr�e ouest conna�t une situation des plus critiques, un v�ritable coupe-gorge et en plus des nombreux magasins de quincaillerie, de plomberie, de l��lectrom�nager, de pi�ces d�tach�es et moteurs de toutes sortes et qui se font face, la chauss�e et les trottoirs sont litt�ralement pris d�assaut par les nombreux camions venus charger de la marchandise et rendant par l� l�entr�e vers le centre-ville ou la sortie vers S�tif des plus contraignantes dans une anarchie totale qui vous donne le tournis malgr� la pr�sence tr�s timide de la police cens�e r�guler un tant soit peu la circulation sur ce grand axe routier. Les trottoirs de l�AMC du lyc�e Chiheb et du centre de ch�ques postaux sont r�quisitionn�s par des gardiens informels qui op�rent en territoire conquis au vu et au su de tout le monde. Il est vrai qu�il n�existe pas de parking dans tout le p�rim�tre du march� de Duba� et la journ�e se d�roule dans une cacophonie indescriptible jusqu�� la fermeture des lieux aux environs de 17h. L�, la ville retrouve son calme et ses rep�res malgr� les d�tritus et autres cartons laiss�s par les visiteurs d�un jour.
Mostefa Djafar

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