�La candidature de l�Italie (pour l�organisation de l�Euro-2016) est harmonieuse et unie�, a assur� mardi � Rome le sous-secr�taire d�Etat � la pr�sidence du Conseil, Gianni Letta, au terme d�une rencontre avec des repr�sentants de l�Union europ�enne de football (UEFA). �Nous pensons avoir une valeur ajout�e en raison de notre patrimoine arch�ologique, de nos paysages et du climat �, a continu� M. Letta, ajoutant : �Nous avons r�pondu � toutes les demandes qui ont �t� adress�es par la commission de l�UEFA�.

La commission, qui a d�j� rendu visite � la Turquie et s�appr�te � se rendre en France, est conduite par le Portugais Gilbert Madail, membre du comit� ex�cutif de l�UEFA. Hier matin, elle s�est entretenue avec les repr�sentants du gouvernement italien ainsi que les dirigeants de la F�d�ration (FIGC), de la Ligue des clubs professionnels (Lega Calcio) et certains des maires des villes candidates. L�Italie, au m�me titre que la France et la Turquie, a d�pos� mif�vrier son dossier de candidature � l�organisation de l�Euro-2016, le premier de l�histoire � 24 �quipes, dont le pays h�te sera d�sign� le 28 mai � Gen�ve par le comit� ex�cutif de l�UEFA. De son c�t�, le sous-secr�taire d�Etat � la pr�sidence du conseil d�l�gu� aux Sports, Rocco Crimi, s�est dit confiant quant � l�adoption rapide d�une loi sur les stades qui constituerait un atout de plus pour la candidature italienne. Cette loi doit notamment faciliter la privatisation des stades, ainsi que leur construction ou leur r�novation notamment gr�ce � des taux d�int�r�ts bas et moins d��obstacles� administratifs. A l�heure actuelle, tous les stades appartiennent aux communes sauf celui � venir de la Juventus � Turin, actuellement en construction, et le Stade olympique de Rome qui appartient au Comit� olympique italien (Coni). �Il y a une forte volont� politique d�obtenir l�adoption (de la loi) dans un bref d�lai�, a pr�cis� M. Crimi.

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