
Actualités : NÉGOCIATIONS À ARCELORMITTAL EL HADJAR Le partenaire social propose la date du 16 mai
Profitant du climat serein qui caractérise actuellement les relations entre le syndicat et la direction générale du complexe ArcelorMittal d’El Hadjar, le secrétaire général du syndicat d’entreprise, Smaïl Kouadria, a proposé la date du 16 mai courant pour entamer les négociations sur les points portés dans le procès-verbal des récentes réunions entre les deux parties. Cette date coïncide avec l’échéance, fixée au 15 mai, pour le lancement de ces négociations. Après avoir rappelé les points contenus dans le procès-verbal paraphé par les deux partenaires, le premier responsable du syndicat adresse à l’employeur, à titre d’information, une copie de l’avenant n°1 de la convention de branches du secteur, conclu en application des dispositions arrêtées lors de la 13e tripartite et négociées entre les SGP Translob et la fédération FNTMMEE.Cet avenant comporte certains réajustements portés dans les articles 2 et 3. Il s’agit de l’augmentation des salaires de base, de l’indemnité pour salaire unique et de l’indemnité de départ à la retraite qu’il compte adapter à la société ArcelorMittal. Tout en mentionnant les attentes des travailleurs d’El Hadjar de «voir le climat social interne évoluer au même rythme que le changement en cours au niveau national», le secrétaire général du syndicat insiste sur la concertation, le dialogue serein et continu, qui constituent «les garanties de prévention de la naissance de tout désaccord sur le plan social». Il affirme, à ce sujet, que les travailleurs sont «convaincus de l’importance que vous accordez à ce facteur» et des «efforts de la direction pour mener à terme les négociations préconisées». Par ailleurs, et sur un autre registre, Smaïl Kouadria a été désigné par le patron de la Centrale syndicale pour représenter l’union au sein de la commission des maladies professionnelles relevant du ministère du Travail, de l’Emploi, et de la Sécurité sociale. Ce choix n’est pas fortuit. Il a été décidé en fonction de l’importance de l’entreprise et des conditions spécifiques de travail dans le secteur de la sidérurgie, connu pour ses nuisances et les risques potentiels d’accidents, que l’employeur prend en compte à travers des mesures de prévention adéquates. A Bouacha
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