Avant d’entrer dans le vif du sujet, je me permets de recourir à
l’histoire de grand-mère, racontée, autour de l’âtre, afin de tromper la
faim que nous imposait le régime colonial de triste mémoire. Dans un
marché hebdomadaire de nos montagnes, tenait place un vieux paysan pour
vendre un coq grand, gros et dodu, à plumes luisantes et multicolores
que seules nos campagnardes savaient engraisser.
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