Actualit�s : ORAN : CL�TURE DU 2e CONGR�S INTERNATIONAL SUR LA PROMOTION INTERAFRICAINE DE LA COOP�RATION POUR LE D�VELOPPEMENT DES TIC
�Le projet fibre optique Alger-Abuja n�est pas �vident�


Le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication a d�clar�, lors d�un point de presse anim� en marge de la cl�ture du deuxi�me congr�s international sur la promotion interafricaine de la coop�ration pour le d�veloppement des TIC et strat�gie et gouvernance des TIC, que le projet de fibre optique Alger-Abuja n�est pas �vident.
Des propos tenus en l�absence du ministre de la Communication, des Nouvelles technologies de l�information et de la Culture du Niger, qui avait pourtant confirm� sa participation aupr�s des organisateurs. Pour le ministre Moussa Benhamadi, �le projet n�est pas si �vident ; techniquement, il est r�alisable, mais nous ne sommes pas les seuls sur le projet, certains ne veulent m�me pas que nous sortions ne serait-ce que de nos douars. Il existe en parall�le d�autres possibilit�s avec, entre autres, le Mali. Mais le projet Alger- Abuja demeure toujours d�actualit�. A noter que durant ce congr�s, � l�instar du ministre nig�rien, celui du Mali �tait �galement absent. Deux absences auxquelles le ministre alg�rien n�a pas �su� donner d�explication, les concern�s ayant confirm� leur participation jusqu�� la derni�re minute. �Des personnes �taient charg�es de les attendre � l�a�roport, c�est vous dire combien nous �tions certains de leur venue.� Au sujet de l�information relay�e par la cha�ne El Arabya quant � l�entretien t�l�phonique qu�aurait eu le Premier ministre Ahmed Ouyahia avec le patron d�Orascom Telecom Holding, Naguib Sawiris, le ministre de la Poste et des Technologies de l�information et de la communication, Moussa Benhamadi, s�est montr� surpris : �Je ne suis pas au courant, et cela m��tonne que �a soit vrai. C�est s�rement une mani�re de redorer son image. Il ne s�agit l� que d�une op�ration de marketing de la part du patron d�Orascom, cela m��tonnerait qu�il ait parl� au Premier ministre.� A l�issue des travaux de ce deuxi�me congr�s, les congressistes ont estim� que �lors de cette deuxi�me �dition qui fait suite � celle qui s'est tenue en juillet 2008 � Alger o� durant laquelle un certain nombre de constats ont �t� faits, il existe une volont� et un potentiel ind�niables mais un d�calage entre la vision et la mise en �uvre persiste encore. Il existe des enjeux majeurs dont ceux li�s aux ressources humaines, � la mise en place d'une �conomie du savoir et de l'information. ressort que des choix importants et d�cisifs doivent �tre pris dans une approche syst�mique avec pour seul souci de nous ins�rer dans un monde r�gi par l��conomie du savoir�.
A. B.

MOUSSA BENHAMADI AU SUJET DU PROJET DE LA 3G
�Les �quipementiers doivent s�impliquer dans le financement�
En marge de la cl�ture du deuxi�me Congr�s sur la promotion de la coop�ration interafricaine pour le d�veloppement des TIC et strat�gie et gouvernance des TIC, organis� � Oran du 2 au 4 novembre 2010, Moussa Benhamadi, ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, a �voqu� le projet de lancement de la licence de t�l�phonie mobile 3G. Il dira � ce sujet que rien ne presse l�urgence devant �tre accord�e � la production de contenus informatiques. Le ministre a �t� ferme sur la question de l�implication des �quipementiers dans le financement de ce projet co�teux. �Une loi est en pr�paration afin d�impliquer les trois op�rateurs, ainsi qu�Alg�rie T�l�com et un cahier des charges relatif aux prestations de la t�l�phonie mobile troisi�me g�n�ration est en �laboration. Il sera soumis prochainement au gouvernement�, a d�clar� M. Benhamadi, qui indiquera que le passage � la technologie de troisi�me g�n�ration n�cessite une base l�gislative et un cadre juridique. �Nous pr�parons le march� pour les �quipementiers, qui, eux, ont besoin de ce march�. Il est donc hors de question que le minist�re assume seul le financement d�un tel projet, cela ne sert � rien. Il faut conjuguer tous les efforts dans ce sens avec la contribution financi�re de tous�, a-t-il ajout�.
A. B.

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