Actualit�s : M�DICAMENTS
Les op�rateurs d�noncent les mauvaises pratiques du march�


Les op�rateurs dans le march� du m�dicament ont fait le m�me constat : �Le march� du m�dicament est anarchique.� D�o� l�urgence, demandent-ils, de mettre en place une politique nationale du m�dicament.
Salima Akkouche - Alger (Le Soir) - Rupture, r�tention de stocks, p�nurie, situation de monopole... Autant de pratiques d�nonc�es, jeudi dernier, par les op�rateurs dans le m�dicament. Des pratiques, disent-ils, install�es suite � une mauvaise organisation. R�unis lors d�une journ�e parlementaire sur le m�dicament, syndicats et organisations professionnelles du secteur se sont succ�d� pour parler de leurs pr�occupations et demander la moralisation de ce march�. Comment ? Par la mise en place de bonnes pratiques de commercialisation. Une d�marche qui ne peut, cependant, voir le jour sans une r�elle politique du m�dicament. Le ministre de la Sant�, qui a �cout� les dol�ances des intervenants, est quasiment du m�me avis. Ainsi, si Ouled Abb�s a d�menti toute p�nurie de m�dicaments actuellement, il a promis un travail de coordination avec tous les intervenants afin de mettre de l�ordre. En effet, le ministre de la Sant� vient de cr�er l�Agence nationale du m�dicament. Cette agence, qui sera op�rationnelle  op�rationnelle incessamment, travaillera sous l��gide du d�partement de la sant�, affirme Djamel Ouled Abb�s. Selon ce dernier, l�objectif du secteur en mati�re de m�dicaments est de r�duire progressivement l�importation pour arriver, en 2014, � une production nationale couvrant plus de 70% des besoins, contre 37% actuellement. Selon Tayeb Louh, ministre du Travail et de la S�curit� sociale, la facture des remboursements des m�dicaments a atteint, l�ann�e derni�re, 82 milliards de dinars.
S. A.

NOUVELLE LOI SANITAIRE
Priorit� � l�assainissement de la pratique m�dicale
Sans donner plus de d�tails, le ministre de la Sant� a indiqu� que parmi les grandes lignes de la nouvelle loi sanitaire qui sera pr�sent�e au gouvernement dans le courant du mois de d�cembre, l�assainissement de la pratique de la m�decine. �Il y a des d�passements que je n�accepterais pas�, a-t-il averti. Les structures de sant� seront �galement surveill�es de pr�s. Le ministre de la Sant� a annonc� que le contr�le de 109 centres d�h�modialyses g�r�s par le priv� sera effectu�. �Je vais faire une inspection et moraliser l�exercice de la m�decine car on ne peut pas laisser cette profession aux charlatans�, a-t-il conclu.
S. A.

Une centaine de m�dicaments interdits � l�importation
La nouvelle liste des m�dicaments interdits � l�importation a �t� fix�e. Ainsi, une centaine de m�dicaments vient s�ajouter aux 239 d�j� interdits. Des m�dicaments que les producteurs priv�s se sont engag�s � produire localement.
S. A.

HOSPITALO-UNIVERSITAIRES
�Leurs probl�mes sont pris en charge�
Les hospitalo-universitaires sont mont�s au cr�neau, la semaine derni�re, pour d�noncer l�absence de dialogue avec le ministre de la Sant�. Selon ce dernier, le dialogue n�a jamais �t� rompu. C��tait juste une question de temps, a affirm� Djamel Ouled Abb�s. D�ailleurs, ce dernier compte y rem�dier en promettant de les rencontrer d�ici deux semaines. �Le syndicat m�a adress� un courrier que je n�ai pas re�u, car j�ai �t� occup� durant cette derni�re semaine�, a pr�cis� le ministre de la Sant�, qui a ajout� n�avoir de probl�me avec aucun syndicat du secteur. Et d�affirmer que �tout est r�gl� � pr�sent. Il ne reste que le probl�me des concours des chefs d�unit� et chefs de service�.
S. A.

VACCIN H1N1
Cinq millions de doses incin�r�es cette semaine
Un stock de cinq millions de doses de vaccin contre la grippe H1N1 sera d�truit � partir de cette semaine. Selon le ministre de la Sant�, l�incin�ration sera assur�e par une entreprise publique.
S. A.

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