R�gions : VISITE D�UNE D�L�GATION DE L�H�RAULT � ORAN
Echange d�exp�rience dans la gestion des d�chets


Dans le cadre de la signature d�un protocole de coop�ration entre les membres de l�APW d�Oran et le Conseil g�n�ral de la r�gion de l�H�rault, dans le sud de la France, une visite a �t� effectu�e par une d�l�gation fran�aise lundi � Oran.
Cet accord de coop�ration technique, qui date d�avril 2010, a d�bouch� sur une plateforme de travail comme expliqu� lundi par le pr�sidents de l�APW et celui du Conseil g�n�ral de l�H�rault, Andr� Vizinhet, qui �tait accompagn� de nombre d��lus. La r�gion de l�H�rault et plus particuli�rement la ville de Montpellier, ayant une exp�rience dans les domaines de la gestion des d�chets, de l�eau et du transport public, a de ce fait orient� dans ce sens les �changes qui se sont engag�s entre les deux groupes d��lus. Une visite sur le terrain a �t� organis�e pour la d�l�gation fran�aise au niveau de la station d��puration d�Oran qui traite jusqu�ici 8 000m3/j avec une capacit� totale de 270 000 m3. La seconde �tape de ce d�placement a �t� consacr�e au centre d�enfouissement technique (CET) de Hassi Bounif qui traite quotidiennement 1 000 t de d�chets mais qui peut en stocker jusqu�� 9,2 millions de m3. Des donn�es qui ont impressionn� la d�l�gation fran�aise, comme l�expliquera ult�rieurement M. Vizinhet qui � cet instant �voquera des �changes d�exp�riences. Une prise de contact a �t� men�e �galement � la CCIO d�Oran, puisque dans la d�l�gation de l�H�rault figurait un repr�sentant de la CCI de Montpellier et qui, l� aussi, devrait d�boucher en avril 2011 sur la signature d�une convention � m�me de favoriser les �changes �conomiques et les relations d�affaires dans le monde de l�entreprise. Le pr�sident de la d�l�gation fran�aise insistera aussi sur le caract�re particulier de sa r�gion, puisque l�H�rault d�tient un tissu de 28 000 PME/PMI, majoritairement de petites entreprises qui n�activent pas beaucoup dans le domaine de l�exportation. Les discussions entre les partenaires ont port� sur cette n�cessit� d�sormais d�avoir des relations de gagnant/gagnant, ce � quoi semblent dispos�s les repr�sentants du Conseil g�n�ral de l�H�rault.
Fay�al M.

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