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 BOUTEFLIKA, BENSALAH, ZIARI, BESSAÏEH, OUYAHIA ET BELKHADEM Seconde réunion secrète
Abdelaziz Bouteflika a présidé une autre rencontre avec les plus hauts responsables de l’Etat au niveau de la présidence. Elle a eu lieu, avant-hier, lundi, dans l’après-midi, et dans le plus grand secret, avons-nous appris de source bien informée. Y ont pris part le président du Sénat, Abdelkader Bensalah, le président de l’Assemblée populaire nationale, Abdelaziz Ziari, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, le président... Suite... |
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 | ENTRETIEN DU MOIS WILLIAM QUANDT A PROPOS DES PROCESSUS POLITIQUES EN COURS DANS LE MONDE ARABE : “ Je ne suis pas si sur qu’il existe une exception algérienne…” |
Entretien réalisé par Mohamed
Chafik Mesbah
Pourquoi une exception algérienne ne peut exister…
Après une interruption de plus d’une année durant laquelle je n’ai
cessé d’être interpellé par de nombreux lecteurs, je reprends, non sans
émotion, la publication du supplément «l’Entretien du Mois». Un
supplément lequel m’a procuré, il est vrai, la possibilité de rencontrer
des personnalités nationales et internationales de premier plan pour
débattre de problématiques des plus captivantes. Je remercie mes amis du
«Soir d’Algérie», à commencer par Fouad Boughanem, égal à lui-même dans
la constance de son comportement tout empreint de bonhomie, ces amis qui
m’ont toujours ouvert les colonnes de leur journal, sans jamais
interférer sur la substance ou la forme de mes interventions. Ce geste
de solidarité ne peut être oublié. J’avais cessé la publication de ce
supplément dans le souci de prendre du recul par rapport à l’actualité
immédiate. Le silence observé- pourquoi le nier ? - était du, aussi, à
un certain sentiment de lassitude. Le monde, dans son ensemble, évoluait
à une vitesse presque frénétique tandis que l’état des choses dans mon
cher pays demeurait, invariablement, le même, si tant est qu’il ne
s’aggravait pas chaque jour davantage. Comment, dans ces conditions, ne
pas céder à une dose, même infime, de désespérance ? Contre toute
attente, c’est le «printemps arabe», volontiers raillé par certains de
nos responsables institutionnels et autres de leurs thuriféraires qui
m’a redonné la force de retourner à cette revivifiant activité
intellectuelle.
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 | NUIT DE BARRICADES À SALEMBIER Le réveil douloureux du casseur de marches |
Samedi 5 mars, des groupes de jeunes, recrutés pour casser du marcheur, montrent les biceps et jouent du couteau à El-Madania (ex- Salembier). Lundi 14 mars, dans la même commune, des barricades sont érigées et des pneus brûlés par des centaines de résidants réclamant un toit. Dure est la réalité quand, passé l’excitation d’un samedi de marche, elle vous rappelle à votre condition de citoyen laissé-pour-compte.
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 | CONTESTATIONS POPULAIRES EN HAUTE-KABYLIE Les citoyens ferment les sièges de l'APC d'Akbil et de la daïra de Beni Yenni |
La vague de colère et de contestation populaire qui secoue la wilaya de Tizi-Ouzou dans tous les secteurs, comme partout ailleurs dans le pays, depuis le début de l'année en cours, gagne de plus en plus de communes de la Haute-Kabylie où les citoyens, déjà épuisés par le poids de la précarité et les conditions de vie difficiles, doivent aussi subir les excès et les abus d'une administration locale «lourde, bureaucratique et sourde», qui les maintient en retard ou carrément à l'écart du «développement, alors que des milliards de dinars ont été alloués par le pouvoir central», ne cessent-ils de crier à chaque fois.
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