Actualit�s : SOUS-TRAITANCE
Une s�rie de propositions pour organiser le secteur


Le Conseil national consultatif pour la promotion des PME formule des propositions pour l�organisation du secteur de la sous-traitance en Alg�rie.
�Nous pr�parons un document pour le d�veloppement de la sous-traitance dans notre pays. Tous les �l�ments seront d�finis et les fili�res concern�es d�termin�es�, a d�clar� le pr�sident du Conseil national consultatif pour la promotion des PME, Za�m Bensaci, hier au forum d� El Moudjahid, lors d�une rencontre sur la stabilit� politique et ses cons�quences sur les anticipations des agents �conomiques. Rappelant l�importance du march� de la sous-traitance en Alg�rie, il a assur� que son d�veloppement d�pend de �l�implication et de l�adh�sion � des grands donneurs d�ordres. Il a, ainsi, plaid� pour une politique de cr�ation d�entreprises et a pr�conis� le dialogue avant toute d�cision strat�gique avec les op�rateurs �conomiques notamment, pour ��viter les d�g�ts�, dit-il. En outre, Bensaci a estim� que le secteur �conomique priv� a �t� marginalis�. �Apr�s plusieurs ann�es de terrorisme qui ont d�truit l��conomie nationale, seules les soci�t�s publiques ont �t� soutenues et r�anim�es�, a-t-il expliqu�. Pour lui, la dichotomie entre le secteur public et priv� n�a pas lieu d��tre. Pour sa part, Malek Sera�, consultant international, a s�v�rement, critiqu� le recours � la loi de finances compl�mentaire r�guli�rement. �Si on avait des parlementaires forts et arm�s de technicit�, on n�aurait pas besoin d�adopter une loi de finances compl�mentaire tous les six mois. Cela porte pr�judice � notre image de marque � l��chelle nationale�, dira-t-il. Pour lui, la stabilit� politique doit �tre suivie d�une �stabilit� de lois�. Evoquant les mouvements de protestations que connaissent les diff�rents secteurs, l�intervenant a affirm� que les syndicats sont en train de �s�affaiblir et de perdre de leur cr�dibilit�. Quant aux partis politiques, il estime que �le monopole de groupes d�int�r�ts a pris le dessus sur les int�r�ts des citoyens �loignant ainsi, les formations politiques de leurs vocations�. S�agissant du ch�mage, Ramdane Ta�zibt, membre du groupe parlementaire du Parti des travailleurs (PT), a indiqu�, de son c�t�, que �l�emploi pr�caire n�est pas une solution�. Il a estim� �galement, que �le financement des diff�rents dispositifs de soutien � l�emploi aurait mieux servi � la cr�ation de complexes industriels et � relancer ceux qui ont �t� ferm�s�.
Rym Nasri

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