Les enseignants contractuels non concern�s par la d�cision d�int�gration aux postes d�enseignants protestent. Ils ont entam�, depuis hier, un sit-in ouvert au niveau de la maison de la presse Tahar-Djaout, � Alger.
Salima Akkouche - Alger (Le Soir) - La question de l�int�gration des enseignants contractuels ne semble pas encore totalement r�solue. Pr�s de 18 000 enseignants contractuels ont arrach� leur int�gration en mars dernier apr�s deux semaines de protestation. Cette d�cision ne concerne que les enseignants en poste pendant cette p�riode. Les enseignants contractuels et suppl�ants sans contrats lors de l�annonce de cette d�cision protestent � leur tour. Ils sont pr�s de 5 000, selon leurs estimations, � demander leur titularisation. Apr�s des sit-in au niveau de la Direction g�n�rale de l��ducation nationale et du minist�re de tutelle, ils ont d�cid� de prendre leurs quartiers, depuis hier, au niveau de la maison de la presse Tahar-Djaout. �Nous demandons notre int�gration au m�me titre que nos camarades � r�clament-ils. Ils refusent d��tre exclus de cette mesure �sous pr�texte qu�ils ne disposaient pas de contrat depuis le d�but de l�ann�e�. Mme Meriem Ma�rouf, porte-parole du conseil national des enseignants contractuels, a indiqu� que �m�me si le conseil soutient la revendication des protestataires, il ne peut, cependant, rien faire pour eux�. Celle-ci a expliqu� que ces protestataires n�avaient pas de postes vacants. �Le minist�re a promis de trouver une solution � leur cas d�s la rentr�e prochaine �, a-t-elle indiqu�.
S. A.

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