A Bouzar�ah, comme dans une dizaine d�autres communes de la capitale, on n�a pas besoin d�investisseurs apparemment.
Sinon comment expliquer que des promoteurs qui se sont engag�s dans des projets d�envergure se retrouvent dans l�expectative apr�s avoir engag� des capitaux colossaux pour, entre autres, l�acquisition de terrains aupr�s de particuliers. Les blocages qui durent depuis de longues ann�es sont dus � une d�cision de la Wilaya d�Alger qui a suspendu les constructions de toute nature sur certains sites pour des �tudes g�od�siques, et cela date depuis� les inondations de Bab-El-Oued, il y a maintenant dix ans.

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