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 LES PIRATES LIBÈRENT 2 DES 27 OTAGES Marins du Blida: la fin du cauchemar ?
Deux marins du vraquier Blida en otage dans les eaux somaliennes ont été relâchés hier pour des raisons humanitaires, selon le ministère des Affaires étrangères. Il s’agit d’un Ukrainien et de l’Algérien Azzedine Toudji, âgé de 52 ans, qui exerçait comme boulanger à bord du navire. Selon Nacereddine Mansouri, directeur d’IBC, les deux marins sont en ... ...Suite
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 | TAHAR ZBIRI-HOUARI BOUMEDIÈNE Les dessous d’un coup d’Etat manqué (4e partie et fin) |
Par Mohamed Maârfia, moudjahed
8. L’échec
Les causes objectives de l’échec de Tahar Zbiri n’ont pas d’autres
raisons que son option, dès le début sur le dialogue, les appels à la
raison et la persuasion. Cette option n’était pas inspirée par la peur
d’affronter par la force Boumediène et ses moyens, mais par la crainte
de voir le pays replonger dans les déchirements qui ont précédé et suivi
le cessez-le-feu de 1962. Il était convaincu que «la table rase du 19
juin» était une bonne chose pourvu que ses promesses soient tenues.
C’est cette illusion, nourrie jusqu’au bout, qui le mènera à l’échec.
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 | AFFAIRE DGSN-ABM La défense se retire du procès |
Très attendue pour la journée d’hier, le procès de l’affaire opposant la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) à la société privée spécialisée dans la vente des produits informatiques, ABM, a été reporté sous huitaine. La décision a été prise par la présidente de la quatrième chambre près le tribunal de Sidi M’hamed, après que le collectif de la défense eut décidé de se retirer.
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 | SIDI BEL-ABBÈS Ratissage de l’ANP à Tafessour |
Dans la soirée de mardi dernier, les forces de l’ANP, en opération de ratissage dans la forêt de Douila, commune de Tafessour, dans la localité de Mérine, au sud de la wilaya de Sidi-Bel-Abbès, ont surpris cinq terroristes sur les lieux.
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 | Les journées obscures d’octobre 1988 |
Par Ahmed Cheniki
Octobre 1988 reste encore une énigme. Chacun essaie d’expliquer les
causes de ce séisme qui a failli emporter l’Algérie, mais qui a laissé
d’indélébiles traces dans le paysage politique et l’imaginaire
populaire. Pour le moment, chacun interprète les faits et tente
d’apporter son analyse en fonction de sa position politique. Etait-ce un
mouvement spontané ou une manifestation calculée et provoquée ? Jusqu’à
présent, des responsables du pouvoir de l’époque avaient estimé que tout
le mouvement, même si des situations inattendues et imprévues avaient
caractérisé le cheminement, avait été conçu par des personnalités
influentes du régime qui voulaient précipiter la chute du clan opposé à
leurs intérêts et à leurs projets.
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