Voxpopuli : VOS MESSAGES

Un lion ou un singe ?!!
Certes, il faut vivre dans un groupe pour prouver notre humanit�. Mais, est-ce toujours possible d�accomplir cette t�che de cohabitation avec des gens qui ne sont pas aptes au moindre d�veloppement, ni changement, soumis � leur v�cu, amorphes et indiff�rents ?
Une r�alit� am�re, celle que je vis avec mes gens, mes amis, mes coll�gues et mes �l�ves ; mon pays. Je me sens �trange. Je vois les choses autrement ou bien fausses ! Je suis perdu ! On prend un voleur pour un h�ros, un homme d�affaires. Un simple fonctionnaire pour un �dieu� ; sans lui tu ne peux pas manger, tu ne peux pas te marier, tu ne peux plus acheter un m�dicament. S�il est m�content de toi, tu es foutu ! Ton salaire risquerait des dangers �normes. A l�exemple du gars des services de paiement des PES de Djelfa ; un lion qui d�fend son abri ! Est-ce de sa faute ? Napol�on III, �galement, s�est pris pour un aigle. Mais Hugo le nommait �le singe�. Alors, c�est � nous tous de choisir : un lion ou un singe ?
Ahmed Bahnas, Hassi Bahbah, Djelfa

SOS la CNAS �d�rembourse�
Depuis quelques ann�es, la CNAS proc�de au d�remboursement de certains m�dicaments et applique des tarifs de r�f�rence ridicules pour d�autres sans que l�UGTA, qui pr�side son conseil d�administration, r�agisse. De m�me que la presse et ses journalistes et encore moins le minist�re de tutelle et autres organismes d�Etat et ONG concern�s ne se sont jamais int�ress�s � ces d�cisions unilat�rales et arbitraires. Par ailleurs, les remboursements de prestations m�dicales et analyses continuent � �tre minor�s avec m�pris et ridicule (exemple : remboursement de 80 DA pour une consultation de 1 200 DA. En parall�le, la Caisse de s�curit� sociale est en train d�investir dans le luxe et le confort de ses locaux tout en gonflant les salaires et autres indemnit�s de son personnel, tout cela avec les cotisations des travailleurs. Devant l�indiff�rence g�n�rale face � ce d�ni de justice, nous interpellons l�UGTA, la presse et le minist�re de tutelle ainsi que les instances et ONG concern�s pour agir en vue de mettre un terme � ces d�cisions despotiques et r�introduire plus de justice dans la prise en charge des malades dans le cadre d�une vraie solidarit� sociale.
Un groupe d�assur�s de la CNAS

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