Actualit�s : L�OPGI de Blida r�pond � Farouk Ksentini

J�ai l�honneur de vous demander de bien vouloir ins�rer, en vertu du droit de r�ponse et en lieu et place, dans votre quotidien Le Soir d�Alg�rie, cette mise au point relative � l�article paru en page 12 dans votre �dition du jeudi 8 mars 2012, sous le titre �Il faut criminaliser le harc�lement sexuel�.
Me Ksentini a bien voulu �se pr�ter au jeu� des questions-r�ponses, entretien r�alis� par votre journaliste Nadia Salmi, sur la question du harc�lement sexuel. Cependant, de par ses comp�tences av�r�es et sa notori�t�, il aurait d� v�rifier et constater que :
- L�accus� n�a jamais �t� le sup�rieur hi�rarchique de la dame dont il est question,
- La mise � pied dont elle aurait �t� sujette n�est que de la pure fabulation.
La direction g�n�rale de l�OPGI de Blida, ayant pris connaissance de ce fait par le biais d�un journal, avait mis en place une cellule compos�e de cadres, pour l�examen de cette affaire, laquelle cellule avait pris les mesures conservatoires qui s�imposent, conform�ment � son r�glement int�rieur, � l�encontre des deux parties en pronon�ant une suspension provisoire dans l�attente d�une d�cision des instances judiciaires. La d�cision de la justice qui s�est prononc�e par un non-lieu au profit de l�accus� ne peut �tre remise en cause et, de ce fait, les deux int�ress�s ont �t� r�int�gr�s � leur poste de travail. Enfin, il y a lieu de s�interroger sur le pourquoi du choix de l�OPGI de Blida comme exemple, dans les d�clarations de Me Ksentini, et celui de la date symbolique du 8 Mars, journ�e de la femme, tout en omettant de pr�ciser que c�est une FEMME qui est � la t�te de la direction g�n�rale de l�OPGI de la wilaya de Blida.

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