Actualit�s : LE PNSD ABORDE LA QUESTION DE L��CONOMIE DE BAZAR :
�C�est le minist�re du Commerce qu�il faut remettre en question�


Pour le pr�sident du �Parti national pour la solidarit� et le d�veloppement (PNSD), Mohamed-Ch�rif Taleb, pour sortir de l��conomie de bazar qui pr�domine le pays, il faut remettre en question la politique du minist�re du Commerce plut�t que de traquer les jeunes commer�ants de l�informel.
Mehdi Mehenni - Alger (Le Soir) - Le Parti national pour la solidarit� et le d�veloppement donne le ton � la veille du lancement de la campagne �lectorale pour les l�gislatives du 10 mai prochain. Le pr�sident du parti, Mohamed-Ch�rif Taleb, qui s�exprimait hier � l�occasion d�une conf�rence de presse estime que ce ne sont pas les jeunes vendeurs � la sauvette qu�il faut traquer dans les rues et les march�s informels mais plut�t les barons de l�import-export. Sur ce chapitre, le pr�sident du PNSD estime que le d�partement de Mustapha Benbada laisse faire. �Nous nous demandons si certains cadres du minist�re du Commerce ne sont pas des cadres v�reux�, a-t-il lanc�. Pour lui �l��conomie de bazar qui gangr�ne aujourd�hui le pays r�sulte de l�incomp�tence du minist�re du Commerce � g�rer convenablement ce secteur ou alors d�un laisser-aller qui d�coule de quelque connivence �. Mohamed-Ch�rif Taleb s�explique : �Nous assistons aujourd�hui � une importation massive et frauduleuse de produits de mauvaise qualit� et impropres � la consommation. De grands bonnets qui sont � l�origine utilisent des pr�te-noms et inondent le march� par conteneurs de marchandises sans factures��. Ce qui repr�sente, poursuit-t-il, un �norme manque � gagner au Tr�sor public. C�est � cet effet que le pr�sident du Parti pour la solidarit� et le d�veloppement, propose une �conomie de la troisi�me voie, qu�il compte d�velopper tout au long de la campagne �lectorale qui s�ouvre officiellement aujourd�hui. �Nous sommes pour un capitalisme soft, qui pr�ne la cr�ation de richesses, la r�gulation du march� et une r�partition �gale des richesses�, a-t-il conclu.
M. M.

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