R�gions : LE SOIR DE L'EST


SKIKDA : GLISSEMENT DE TERRAIN � LA CIT� LA R�SIDENCE
7 ans apr�s, les habitants craignent pour leur vie
Les gravats et pierres jonchent toujours l�arri�re immeuble du 24, avenue ighoud-Youcef. Ils constituent l�un des �dommages collat�raux� du glissement de terrain survenu le 11 janvier 2005.
Sept ans apr�s l��clatement du mur de l�appartement de la famille Seddiki, situ� au 1er �tage, vers les coups de 15h20, lors duquel la m�re et ses trois enfants ont failli y laisser leur vie, et l�effondrement du balcon du 2e �tage, les sept familles s�accrochent � l�espoir de voir mettre fin d�finitivement aux causes de l��boulement. En effet, la r�alisation du mur de sout�nement pour renforcer le talus tarde � voir le jour. A l��poque, d�cision a �t� justement prise d��vacuer provisoirement les familles vers les logements sociaux de la cit� des All�es du 20-Ao�t- 1955 (en face du CEM Aoued- Zidane), dans le but d�entamer les travaux y aff�rents. En vain. �La principale cause de cet effondrement serait l'effritement du terrain qui est d� � un d�versement des eaux us�es des villas se trouvant en amont de l'immeuble, ainsi que d'une fuite d'eau potable signal�e depuis des mois par les habitants. Le mur de sout�nement n'a pas pu r�sister � la chute du rocher, il doit �tre renforc�, a-t-on avanc� comme origine de l�incident. Il a �t� �galement d�clar� que �des travaux de r�fection seront entam�s incessamment par une entreprise alg�rienne apr�s le refus des Chinois�. Les appr�hensions des habitants de subir le m�me sort vont crescendo, au fur et � mesure que la saison hivernale approche. D�j�, les r�centes averses ont d�j� donn�, � petite �chelle, un avant-go�t de ce qui peut d�couler du peu d�empressement des autorit�s locales d�intervenir �nergiquement. Les diff�rentes correspondances transmises � l�ex-wali durant les ann�es 2005, 2007 et 2008 n�ont pas eu l�effet escompt�. Et dire que le probl�me auquel est confront�e cette avenue, r�put�e chic, dure depuis� 1983. Avenue o� l�on compte l�H�tel de ville, le 1er arrondissement (commissariat central), le centre m�dico-social de la S�ret� de wilaya, la Banque d�Alg�rie, Alg�rie Poste�.
Za�d Zoheir

OUM EL BOUAGHI
Apr�s une beuverie, un jeune de 30 ans �gorg� puis �ventr�
Dans la journ�e d�avant-hier, la ville de A�n Be�da, notamment la p�riph�rie de A�n Oum Djamel, a �t� �branl�e par la nouvelle de la d�couverte d�un cadavre � la lisi�re de la for�t jouxtant la voie de l��vitement est. Le crime, selon les premiers indices, aurait �t� commis tard avant-hier en soir�e, et ce sont des riverains qui alert�rent la Protection civile de l�existence d�un cadavre au bord de la for�t. Les �l�ments de la Protection civile, accompagn�s des services de s�curit� et du m�decin l�giste, ont d�couvert sur les lieux un corps gisant dans une mare de sang, �gorg� et �ventr� � l�aide d�un objet contondant. Les services de s�curit� ne tard�rent pas � identifier le cadavre comme �tant celui du nomm� K. A. �g� d�une trentaine d�ann�es. Certains indices trouv�s sur les lieux du crime ont permis � la police de mettre la main sur l�auteur de cet abominable meurtre dont le mobile reste inconnu. L�auteur pr�sum� de cet assassinat est entre les mains de la justice. Les investigations se poursuivent pour d�terminer s�il n�y a pas de complices dans ce crime qui s�est produit dans la ville des Haracta o� une semaine auparavant un autre crime a eu lieu et pratiquement dans les m�mes conditions, dont la victime �tait un autre jeune de 30 ans.
Moussa Chtatha

S�TIF
Salon international des grandes cultures
La salle des expositions de la cit� Ma�bouda � S�tif, accueille, depuis hier, la seconde �dition du Salon international des grandes cultures, �C�r�alExpo 2012�.
Organis�e par HM Communication et la revue Green Alg�rie sous le haut patronage du ministre de l�Agriculture et du D�veloppement rural et le wali de S�tif, l�exposition a �t� inaugur�e par Aziz Makhlouf, inspecteur g�n�ral du minist�re de l�Agriculture et du D�veloppement rural. Plus de 70 exposants venus de l�ensemble des r�gions du pays, ainsi qu�une firme d�Argentine, sp�cialis�e dans les �quipements agricoles, participent � ce Salon. Pour cette �dition, l�accent est mis sur les machines agricoles, hydrauliques et d�irrigation. �C�r�alExpo 2012� se veut, selon ses organisateurs, un espace destin� � mettre en valeur les possibilit�s de l�Alg�rie dans le domaine de la c�r�aliculture mais aussi dans les autres fili�res agricoles. Il constitue �galement �une pr�cieuse opportunit� � pour les professionnels du secteur qui peuvent �changer leurs exp�riences et �engager une r�flexion� autour d�importants d�fis qui attendent l�Alg�rie, notamment en mati�re de s�curit� alimentaire. Le choix de la wilaya de S�tif n�est pas fortuit. Selon M. Omar Mahi, commissaire du Salon : �Outre la place qu�occupe la wilaya en mati�re de production de c�r�ales au niveau national, la r�gion a plein d�atouts en mati�re d�investissements et plus particuli�rement dans le domaine agricole, o� plus de 40 000 hectares sont programm�s � l�irrigation. Les capacit�s d�accueil et d�h�bergement viennent d��tre renforc�es par la livraison de nouveaux h�tels. L�a�roport et l�autoroute ont r�duit les distances entre les wilayas. La wilaya de S�tif veut reconqu�rir son statut de �grenier�.� Notons que la production c�r�ali�re de la wilaya a atteint en 2012, pr�s de 2,5 millions de quintaux pour une superficie r�colt�e de 181 000 hectares, soit une moyenne de 13,5 quintaux/ha. La tenue du Salon co�ncide aussi avec le lancement de la campagne labours semailles organis�e cette ann�e sous le slogan �50 ans de labours et de labeur�.
I. S.

4e Forum param�dical international les 12 et 13 d�cembre
Le CHU de S�tif abritera les 12 et 13 d�cembre prochain, le 4e Forum param�dical international. Cette rencontre scientifique se tiendra au niveau de l'amphith��tre de la Direction des activit�s m�dicales et param�dicales du centre hospitalier universitaire de S�tif. Les th�mes retenus pour cette ann�e s�articuleront sur l��valuation des pratiques professionnelles, l�organisation des services de soins et des blocs op�ratoires, le cancer du sein, du col et du poumon (pr�vention, traitement, soins palliatifs
La police s�attaque aux �vides sanitaires�
Une op�ration �coup de poing� men�e par les �l�ments du 10e arrondissement de S�tif a cibl� les vides sanitaires et autres endroits insalubres situ�s dans les quartiers des 100 Logements, Makam Chahid et la station SNTV et a permis de mettre la main sur des quantit�s de marchandises vol�es notamment des parfums de luxe, des sommes d�argent et plusieurs articles �lectrom�nagers et de t�l�phonie ainsi que des produits de d�tergent. Ces endroits servaient de caches pour les voleurs de ces cit�s.
Journ�e d�information pour les aviculteurs
A l�initiative des services de l�agriculture de la wilaya de S�tif, une journ�e d�information et de sensibilisation s�est tenue hier, au profit des aviculteurs de la wilaya. Le but recherch� par l�organisation de cette journ�e vise � aider les op�rateurs activant dans la fili�re avicole � travers des conseils et surtout l�assistance technique de la part des services concern�s, a affirm� M. Ali Zerarga, premier responsable du secteur de l�agriculture dans la wilaya de S�tif.
I. S.

M'SILA
Les boulangers de Bou Sa�da en gr�ve
Toute la population de la ville de Bou Sa�da a pass� la journ�e d�hier sans pain, suite � la gr�ve lanc�e par les boulangers qui veulent �lever le prix de la baguette � 10 DA au lieu de 7,50 DA et qui r�clament la baisse les charges de production de pain. A cet effet, une r�union a �t� tenue dans la journ�e en pr�sence du chef de da�ra de Bou Sa�da, du directeur du commerce de la wilaya et quelques repr�sentants des boulangers protestataires, qui se sont mis d'accord pour maintenir l'ancien prix, notamment celui du pain ordinaire, en attendant une d�cision des responsables du secteur. Les boulangers exigent �galement un quota bien d�termin� de la mati�re premi�re de farine, qui doit �tre servie et transport�e jusqu'aux boulangeries par l'entreprise Eriad. La vente de pain s'est effectu�e dans la ville de Bou Sa�da gr�ce au d�vouement de quelques commer�ants d'alimentation g�n�rale qui se sont d�plac�s et rapport� du pain des communes avoisinantes pour le vendre aux citoyens.
A. La�di

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