TIPASA
La construction de la grande mosqu�e pi�tine
Devant �tre engag�s en 2007, les travaux de la construction de la grande mosqu�e de Tipasa restent toujours un v�u pieux, devenant de ce fait un projet virtuel, qui n�arrive pas � se concr�tiser depuis pr�s de six ann�es, si on consid�re les travaux d��tudes.
Annonc�e en grande pompe, la r�alisation de cet �difice religieux d�une superficie qui avoisine 10 000 m�tres carr�s, et dont le montant pr�visionnel de sa r�alisation est de six milliards, avait d�j� ressenti les pr�mices de difficult�s annonc�es pour sa concr�tisation. En effet, malgr� les deux milliards allou�s par la wilaya en 2008 pour stimuler les fid�les et les bienfaiteurs � contribuer � la r�alisation de cet important �difice cultuel public, il n�en demeure pas moins que la r�alit� est l�. On est face � un statu quo inqui�tant, car peu de moyens ont �t� avanc�s, en r�ponse � l�appel lanc� en direction de la population, des bienfaiteurs et des fid�les. Malgr� l�apport financier de la wilaya qui avait quand m�me octroy� une enveloppe de deux milliards pour la construction de cette grande mosqu�e sise au c�ur de la ville de Tipasa, �le retard enregistr� dans sa r�alisation est regrettable�, nous confie un fid�le r�sidant sur les hauteurs de Tipasa. Nonobstant cette dotation, l�ancien wali de Tipasa avait demand� en octobre 2008, rappelons-le, � ce que le Directeur des affaires religieuses �r�it�re ses appels aupr�s des fid�les et des bienfaiteurs afin de redynamiser une meilleure contribution citoyenne et obtenir des citoyens une assistance accrue et soutenue pour finaliser cet ouvrage de culte et de ne pas compter uniquement sur l'apport de la wilaya� , avait alors recommand� en 2008, l�ancien chef de l�ex�cutif de la wilaya de Tipasa Ainsi, cette mosqu�e situ�e � la proximit� du centre-ouest de la ville de Tipasa, voit sa r�alisation se limiter aux terrassements, et de ce fait les travaux engag�s se voient menac�s par les risques d�inondation des prochaines pluies Paradoxalement � cette situation, et � une centaine de m�tres plus loin, un immense centre culturel islamique est en voie de r�alisation. Les travaux de cet ouvrage construit sur une surface de 1670 m2 ont n�cessit� pr�s de quatre milliards. Plus loin, � Hadjout, une ville situ�e � 15 kilom�tres de Tipasa, vient d��tre �rig� un impressionnant ouvrage cultuel, la mosqu�e Essalem de Hadjout, qui constitue un chef d��uvre d�une originalit� sp�cifique propre � l�architecture musulmane et s�inspirant du mod�le arabo-andalou. Il s�agit d�une majestueuse mosqu�e, construite sur deux niveaux et b�tie sur un terrain de 5 500 m�tres carr�s, avec un rez-de-chauss�e disposant d�une emprise au sol de 1 550 m2. Le bloc sanitaires de cette derni�re occupe plus de 100 m2, la salle des ablutions hommes a une superficie de 50 m2, avec une m�me �tendue que pour celle r�serv�e aux femmes. Toujours au rez-de-chauss�e de cette mosqu�e Essalem de Hadjout, la salle des pri�res occupe 940 m2, tandis que la salle de l�imam occupe 54 m2. Ce monumental ouvrage est dot� d�un minaret de 30 m�tres de hauteur.
Larbi Houari

ELLE A 4 MOIS D�EXISTENCE
Radio Boumerd�s f�te un double �v�nement
A l�occasion du 58e anniversaire du d�clenchement du combat lib�rateur de notre pays et du 50e anniversaire de la r�cup�ration de la souverainet� sur la t�l�vision et la radio, nos confr�res de la toute jeune station Radio de Boumerd�s ont organis� une c�r�monie � laquelle les autorit�s locales et les journalistes ont �t� convi�s. Cl�turant un programme national visant � installer une radio dans chaque wilaya, Radio Boumerd�s, qui �met sur la bande FM 92.6, a �t� inaugur�e, rappelons-le, en juillet 2012. Elle dispose de moyens modernes pour accomplir sa mission. L��quipe d�animateurs et de journalistes que dirige Yasmina Samet, une ancienne des m�dias publics, est encore en rodage et il lui faudra du temps pour �toffer le programme quotidien et r�pondre aux attentes des citoyens de cette wilaya. N�emp�che que des �missions int�ressantes sont diffus�es. Lundi dernier, par exemple, le passage d�un jeune po�te, �crivant en arabe classique, �tait un moment de radio de bonne facture. Les auditeurs de Radio Boumerd�s ont d�couvert un po�te du terroir bien talentueux. Par ailleurs, oscillant entre l�utilisation de l�arabe et le tamazight, l��quipe des animateurs et des journalistes tente de rendre leurs �missions accessibles au plus grand nombre d�auditeurs. Mais en la mati�re, des efforts suppl�mentaires sont attendus, comme est attendue la participation de cette radio au d�veloppement local, au renforcement de la libert� d�expression et de la d�mocratie participative.
Abachi L.

ILS GUETTAIENT LEURS PROIES � PARTIR D�UN V�HICULE DE LOCATION
D�mant�lement du r�seau qui �cumait l�autoroute Est-Ouest
Les �l�ments de la Gendarmerie nationale de Blida ont mis fin, hier, � l�activit� d�un r�seau de malfaiteurs qui agressait les usagers de l�autoroute Est-Ouest. Cette bande de malfaiteurs, compos�e de cinq �l�ments dont un mineur, avait poursuivi un remorqueur qui tirait un v�hicule en panne pour l�arr�ter et agresser la famille qui y �tait � bord. Apr�s leur avoir subtilis� argent et objets pr�cieux, les �cumeurs ont pris la fuite � bord d�une voiture de location de marque Renault Symbol. Cependant, le chauffeur du remorqueur avait pris le soin de relever le num�ro d�immatriculation de celle-ci pour le communiquer � la gendarmerie. C�est ainsi que les investigations ont abouti � l�arrestation de cette bande.
M. B.

SUITE � NOTRE ARTICLE SUR L�EAU SOUILL�E A LA CIT� DES 402 LOGEMENTS � OULED YAICH
Le wali de Blida nous �crit
Faisant suite � notre article du 23 octobre 2012 intitul� � Blida, de l�eau souill�e coule dans leurs robinets�, le wali de Blida nous a rendu destinataire d�un �crit dans lequel il nous fait part de la prise en charge du probl�me pos�, et ce, d�s la date de son signalement � savoir le 29 septembre 2012. Ainsi, il nous informa que le tron�on de la conduite en question d�une longueur d�environ 200 m�tres lin�aires a �t� r�nov� par les services de l�ADE. Tout comme, il nous signala qu�en date du 20 octobre, l�approvisionnement en eau fut r�tabli apr�s que les analyses bact�riologiques aient montr� que le danger fut radicalement �cart�.
M. B.

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