Les Palestiniens sont victimes d�une mystification, d�une querelle artificielle entretenue par leurs repr�sentants qui ont des poissons � noyer.
Le Hamas qui se compromet avec l��mir du Qatar acceptant des subsides du meilleur ami de Sarkozy et d�Isra�l. Recevoir la bonne � tout faire de l'Empire, c'est faire prendre un grand risque � la cause palestinienne. Mahmoud Abbas qui se permet de d�clarer �courageusement� sur une cha�ne de TV isra�lienne que �tout compte fait, il renonce � son droit individuel au retour� et quand cela d�clenche un scandale chez les Palestiniens, il proclame (l�hypocrite) qu�il ne renoncera jamais au principe du droit au retour. Est-ce si surprenant de la part d'un non-pr�sident pour un �Etat non membre de la communaut� internationale� ! Comme si on pouvait se payer le luxe d�un point de vue �individuel� quand on a en charge le destin d�une nation. En particulier d�une nation martyre comme l�est la nation palestinienne. Psychologie de chiffe molle ! Quand on dirige, on cesse d��tre un individu ! Tout cela serait un jeu pu�ril et pr�terait � sourire s�il n��tait pas tragique. Nous savons depuis longtemps que les Abbas, Ghannouchi, Morsi... et tous les ectoplasmes dont il n'est pas utile de rappeler les noms (nombreux en Alg�rie, au Maroc, au Y�men, en Jordanie, en Libye...) constituent une cha�ne de larbins ob�issant, dans un monde qui n'admet plus qu'un seul mod�le : celui des ma�tres et de leurs serfs. Un peu partout dans le monde, et aussi chez nous, les braises engendrent des cendres. Les g�ants accouchent de minus. Et les peuples sont guid�s par des lavettes. Des Isra�liens ont conscience pourtant qu�autour du droit au retour des Palestiniens chez eux, c'est leur humanit� qui se joue. Lire l�appel ci-apr�s. Un jour, d�clamait un Juif il y a longtemps, il n'y aura plus ni Juif, ni Romain, ni Grec, ni Palestinien. Il n'y aura plus que des hommes �gaux en droit, respectueux d'eux-m�mes et, en cela, respectueux d'autrui. C'est en cela que consiste le r�alisme et le pragmatisme. Et non pas c�der aux lois de la gravit�. Que les dirigeants isra�liens sachent que l�Histoire va tr�s vite. Qu�ils peuvent toujours s�acharner � effacer les pierres, � raser les maisons, � b�tonner les puits, � scier les oliviers, � �difier des murs� La loi du plus fort et du fait accompli est un leurre. Rien ne sera oubli�.
Djeha

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