Actualit�s : R�SORPTION DU COMMERCE INFORMEL
10 000 cas provisoirement r�gularis�s


Avec la nouvelle formule de gr� � gr� pour les passations de march� dans le secteur public, d�cid�e � l�issue du dernier Conseil des ministre, le d�partement de Mustapha Benbada entamera bient�t la construction d�espaces pouvant abriter les commer�ants qui exer�aient dans un cadre informel.
Mehdi Mehenni - Alger (Le Soir) - La campagne lanc�e par le gouvernement Sellal, en vue d��radiquer les commerces informels semble se poursuivre dans de bonnes conditions. Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, qui s�exprimait hier, � l�occasion d�une conf�rence de presse, tenue au Palais des expositions des Pins-Maritimes (SAFEX), a fait savoir que son d�partement a accord� des cartes professionnelles provisoires � 10 000 commer�ants qui exer�aient dans l�informel et qui se sont rapproch�s des Chambres de commerce pour r�gulariser leur situation. Le ministre a toutefois soulign� que 40 000 autres cas sont en instance. La nouvelle formule de gr� � gr� pour les passations de march�s dans le secteur public, initi�e � l�issue du dernier Conseil des ministres permettra toujours, selon Mustapha Benbada d�entamer rapidement la construction d�espaces pouvant abriter les commer�ants qui exer�aient dans la clandestinit�. �Nous avons pris contact avec le groupe industriel �tatique Batim�tal en attendant de prendre attache avec d�autres entreprises publiques�, a-t-il pr�cis�.
37% des soci�t�s n�ont pas accompli le d�p�t des comptes sociaux
Sur un autre chapitre, Mustapha Benbada a indiqu� que 37 % des soci�t�s commerciales de personnalit� morale n�ont pas accompli le d�p�t des comptes sociaux au titre de l�exercice 2012, au niveau du Centre national de registre de commerce (CNRC). �Cela peut souvent se justifier par l�ignorance ou l�insouciance des concern�s, mais une chose est s�re, nous allons leur adresser des mises en demeure pour r�gulariser leur situation, et s�ils persistent dans la m�me attitude, nous allons carr�ment entamer des poursuites judiciaires � leur �gard�, a-t-il menac�. Enfin, le ministre est revenu sur l�obligation faite aux commer�ants d�assurer la permanence durant les jours f�ri�s, expliquant qu�il revient aux walis d�organiser l�ouverture et la fermeture des commerces, les d�parts en cong� pour r�pondre aux besoins des citoyens.
M. M.

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