Sports : Echos...

Kerbadj arrivera � partir des quarts si�
Si nombre de pr�sidents de clubs de Ligue 1 sont invit�s � venir rejoindre la galerie alg�rienne appel�e � soutenir les Verts, lors de cette Coupe d�Afrique, le pr�sident de la LFP, Mahfoud Kerbadj, pr�f�re embarquer � la f�te continentale � partir des quarts de finale.
Si bien s�r l�EN passe l��cueil des tunisiens, togolais et ivoiriens lors du premier tour.
Le huis clos de (re)mise
Au lendemain de son second match amical face aux Platinum Stars, les Alg�riens avaient rendez-vous avec les entra�nements d�s hier apr�s-midi. Une s�ance ferm�e aux m�dias. M�me la s�ance de ce samedi en fin d�apr�s-midi le sera presque totalement. Selon des sources concordantes, les journalistes et reporter-photos devront se contenter de dix minutes.
Johannesburg indiff�rente
Alors que le tournoi de la CAN-2013 commence aujourd�hui avec un certain Afrique du Sud- Cap Vert, la capitale �conomique Johannesburg, semble compl�tement d�croch�e concernant cet �v�nement. Hier matin, � notre arriv�e � l�a�roport O. Tembo, rien n�indiquait que l�Afrique du Sud allait abriter un si important rendez-vous sportif. Une all�e �tait certes r�serv�e aux h�tes de l�AFCON-2013, mais pour l�emprunter, il faut �tre un homme de couleur (sic). Deux de nos envoy�s sp�ciaux en ont fait l�exp�rience. En se rapprochant de la fin de la queue, ils se feront tout simplement rel�guer aux files r�serv�es aux extracommunautaires. Celle d�di�e � l��v�nement du football continental doit, � en croire, un tr�s s�rieux policier de faction, �tre accessible aux noirs africains. Sans commentaire.
O� sont pass�es les dessertes de la CAF ?
Si � l�atterrissage et au niveau de la PAF, les traces d�un tel �v�nement sont visibles mais non palpables, � la sortie de l�enceinte a�roportuaire, elle est du domaine de l��trange. Un office d�accueil dispose d�un bureau et de si�ges, mais point d�h�tesse pour orienter les invit�s et autres accr�dit�s de la CAN-2013. Un simple badaud sur place ne cessant de s�excuser de ne pas savoir � quel moment une desserte (elle doit finalement exister dans les esprits) reliera le centre des conf�rences ou les autres sites retenus par les organisateurs de l�AFCON, et proposant m�me ses services. Ceux-ci sont rendus par ses amis taxieurs clandestins � qui il r�clame publiquement sa tchipa. Rustenburg situ�e � 130 kilom�tres de l�, � l�ouest, nous accueille avec des torrents de pluie et un visage plus anim�, et radieux. Cette municipalit� de quatre mille �mes qui vivent du commerce essentiellement, affiche d�j� son engouement pour la CAN-2013. � C�est un rendez-vous qui va nous permettre de tuer l�ordinaire�, nous dira Hamid, jeune Alg�rien �migr� dans le Bafokeng depuis voil� deux ans. �C��tait apr�s la Coupe du Monde, se rappelle-t-il. Je suis venu voir mes deux fr�res. Cela n�a pas �t� facile au d�but. Mais aujourd�hui, je ne regrette pas ma harga�, t�moigne l�enfant de l�ex-Mirabeau.
L�accr�ditation en un tour de main
Autre preuve que Rustenburg a pris de l�avance sur les autres villes qui abritent la CAN-2013, c�est au niveau du centre des accr�ditations. Journalistes et volontaires se relaient sur un rythme soutenu. Tout le monde (ou presque) repart de cet endroit avec le sourire. Il est bon de souligner l�exig�it� du centre de presse du stade Royal Bafokeng. Les organisateurs promettent d�y rem�dier. Wait and See.

Nombre de lectures :

Format imprimable  Format imprimable

  Options

Format imprimable  Format imprimable