Actualit�s : IL CONSID�RE QU�ELLE FAIT DANS L�AGITATION ET LE VACARME POLITIQUE
Djahid Younsi tire sur Louisa Hanoune



Pour le SG d�El Islah, ceux qui d�fendent la th�orie de la manipulation ext�rieure, par rapport � la contestation sociale qui secoue depuis quelque temps le Sud alg�rien, ne sont autres que les relais du pouvoir en place.


Mehdi Mehenni - Alger (Le Soir) - Sans la citer nomm�ment, mais en r�ponse � une question o� le nom de Louisa Hanoune et la position de son parti ont �t� abord�s, Djahid Younsi n�y est pas all� avec le dos de la cuill�re pour descendre en flammes la premi�re dame du PT : �D�un c�t�, le gouvernement alg�rien certifie que les revendications des ch�meurs du Sud sont l�gitimes et d�un autre c�t�, il actionne ses relais pour d�noncer la main de l��tranger. Il ne faut pas qu�il y ait un double langage, car ceux qui d�fendent cette th�orie font dans l�agitation et le vacarme politique. Ces partis ne font pas dans l�opposition mais plut�t dans la contestation politique.� Tout en estimant, que le Parti des travailleurs fait dans la pseudo-opposition, Djahid Younsi affirme que son parti soutient pleinement les revendications sociales des ch�meurs du Sud, m�me s�il d�nonce le recours des manifestants � la violence, en r�f�rence aux �meutiers du logement de Ouargla. �Nul ne peut tol�rer la violence, mais si les manifestations au sud du pays ont pris ce caract�re, c�est qu�il y a vraiment malaise et que les probl�mes se sont accumul�s � d�faut de solutions qui ne sont pas venues � temps pour r�pondre aux pr�occupations des citoyens. Nous avons peur que les probl�mes ne s�accumulent encore et que la contestation sociale ne s��largisse � travers le pays, car Ouargla n�est avant et apr�s tout qu�un prototype du malaise qui r�gne dans le pays�, a-t-il clam�. Par ailleurs, et s�agissant de la probable candidature de Abdelaziz Bouteflika pour une quatri�me fois cons�cutive � la pr�sidence de la R�publique, le SG d�El Islah a r�affirm� l�opposition de son parti appelant � l�alternance au pouvoir.
M. M.





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